À la fin du mois d'avril dernier, Nikos Aliagas a créé la surprise en annonçant quitter la présentation de 50'Inside sur TF1. Il s'agit alors de la fin d'un long chapitre de sa carrière puisque cela faisait seize ans qu'il en tenait rênes, d'abord avec Sandrine Quétier puis seul. L'animateur justifiait sa décision par une envie de se consacrer pleinement à ses autres émissions sur la première chaîne, dont The Voice ou encore la prochaine saison de la Star Academy.
Lors de son passage dans l'émission le Club de l'été sur Europe 1, ce lundi 10 juillet, Nikos Aliagas a expliqué avoir également le sentiment d'en avoir fait le tour. "Seize ans c'est très long, ça a été un apprentissage énorme. Je considère que c'est une émission très bien, mais en même temps je pense que ça a fait son temps pour moi. C'est bien de pouvoir passer le relais. C'est rare dans une carrière de pouvoir le faire, c'est tellement éphémère et incertain", a-t-il déclaré.
Sauf que, passage de relai, il n'y aura pas ! En effet, les téléspectateurs n'assisteront pas à une réunion à l'écran entre Nikos Aliagas et celle qui a été désignée pour le remplacer, Isabelle Ithurburu. "On ne va pas le formaliser parce qu'on n'a pas pu à cause de problèmes de planning. Elle, elle était encore à Canal+", a-t-il fait savoir. Car Isabelle Ithurburu a quitté la chaîne cryptée qu'en toute fin de saison, lors de la finale du Top 14 entre Toulouse et La Rochelle le 17 juin, tandis que les dernières émissions de 50'Inside avec Nikos Aliagas avaient déjà été enregistrées.
On aura l'occasion de se croiser
La figure de TF1 a néanmoins bien l'intention de se rattraper, d'une manière ou d'une autre. "On le fera plus tard peut-être, je viendrai ou on aura l'occasion de se croiser ! C'est la famille maintenant et puis tous mes collègues là-bas restent des amis. Elle a un beau bébé !", a glissé le mari de Tina Grigoriou. À noter qu'Isabelle Ithurburu s'est vue confier 50'Inside mais aussi le prochain Magazine de la Coupe du monde de rugby 2023 sur TF1. Elle succèdera ainsi à Denis Brogniart.