Jean-Paul Gaultier accueille Zoé Felix, in love, et Fanny Ardant pour Iccarre

Les stars étaient fortement mobilisées, lundi 1er décembre 2014, à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida. Le couturier Jean Paul Gaultier a ainsi ouvert les portes de sa maison pour une soirée spéciale de présentation du projet Iccarre. Une intiative soutenue par une représentation de danse à laquelle ont assisté Zoé Felix et son amoureux ainsi que Fanny Ardant.

Co-découvreur du virus du sida, Jacques Leibowitch est à l'origine des tests de dépistage et de la mesure de la charge virale dans le sang mais est également l'inventeur de la trithérapie. Il est à l'origine du projet Iccarre, dont il assure encore les recherches à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches. Ce projet, soutenu par le célèbre couturier Jean Paul Gaultier, lequel a accueilli un parterre d'invités à Paris, a été présenté par le médecin ainsi que par ses soutiens comme l'ancien professeur de la Star Academy Richard Cross, lui-même malade du sida. Les danseuses Marie-Agnès Gillot et Blanca Li (venue avec son fils), soucieuses de faire connaître ce projet au grand public à travers la création artistique, ont ainsi dansé ensemble pour la première fois lors d'une représentation applaudie par les comédiennes Zoé Felix, radieuse au bras de son amoureux Benjamin Rolland, et Fanny Ardant.

Au cours de cette soirée, il fallait aussi compter sur la présence d'Henri Seydoux et de sa femme Farida Khelfa, Agnès Soral, Caroline Loeb, Arnaud Lemaire, la photographe Dominique Issermann, Florence Thomassin, Jean-Claude Jitrois ainsi que les professionnels de l'émission Danse avec les stars, Maxime Dereymez et la jolie Katrina Patchett... Tous ont pu en apprendre un peu plus sur le projet Iccarre, dont l'objectif majeur est d'appliquer la juste posologie dans les traitements du sida. En effet, selon Jacques Leibowitch, "quatre jours de traitement d'entretien par semaine sans aucun échec feront, sur dix ans, quatre années de surmédication en moins aux bénéfices physiologiques et psychologique des patients mais également des comptes de la sécurité sociale et donc de la collectivité", affirme-t-il.

Thomas Montet