Dans le show business, les amitiés sont rares. Alors, quand elles passent l'épreuve du temps, elles en ressortent plus fortes encore. C'est le cas entre l'humoriste Jeff Panacloc et l'ancien animateur de France 2, Patrick Sébastien. Le second a adressé un touchant message au premier, très ému.
Sur le plateau de C à vous, l'émission animée par Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, l'humoriste de 33 ans a été surpris par un message vidéo de Patrick Sébastien alors qu'il était venu faire la promotion de son dernier spectacle intitulé Jeff Panacloc contre attaque ! "Salut mon Jeff, je voulais te faire un coucou d'ami. Et je voulais te dire que je suis très fier de toi et je suis très fier d'être ton ami. Depuis que je te connais, tu n'as pas changé, tu as gardé la même humilité, tu as gardé la même façon d'aimer les gens, le succès ne t'a pas grisé. Et ça, pour moi, dans ce métier, c'est quand même très très rare", pouvait-on entendre.
Jeff Panacloc, de son vrai nom Damien Colcanap, n'a pas caché son émotion face à ces compliments. Les larmes aux yeux, il a lui aussi dit tout le bien qu'il pensait de Patrick Sébastien, sorte de mentor dans le show business. "On est très pudiques tous les deux. Quand on se voit, on discute du métier, du travail, des émissions, notamment quand j'étais dans la sienne. C'est vrai qu'on se parle pas beaucoup d'intimité, donc je suis toujours un peu ému quand il me dit des choses comme ça. Je serais pas ici si j'avais pas rencontré Patrick Sébastien une fois dans un festival complètement par hasard. En plus, il ne devait même pas venir ce jour-là. Il y a deux personnes qui ont compté pour moi dans ce début de carrière, c'est Patrick Sébastien et Pascal Obispo", a-t-il relaté.
Le chanteur a d'ailleurs lui aussi adressé un message à l'artiste, lui demandant "combien dur[ait] un break pour Jeff et Jean-Marc [sa célèbre marionnette insolente, NDLR]". Touché et amusé, Jeff Panacloc a expliqué que Pascal Obispo lui recommandait régulièrement de se reposer parce qu'il bosse énormément et qu'il a du mal à décrocher.
Thomas Montet