Johnny Hallyday : Près de 9 mois après sa mort, Mickey Rourke ne l'oublie pas

Déjà bientôt neuf mois que Johnny Hallyday s'est éteint dans sa maison de Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine), des suites d'un cancer du poumon qui s'est généralisé. Alors que Laeticia Hallyday se recueille tous les soirs sur sa tombe à Saint-Barthélemy, jusqu'à la fin des vacances et accompagnée de leurs deux filles Jade (14 ans) et Joy (10 ans), Johnny Hallyday est également dans les pensées de ses amis.

Proche du rockeur français qu'il croisait souvent à Los Angeles, Mickey Rourke a posté un nouveau message bienveillant sur sa page Instagram le 29 août 2018. L'acteur de 65 ans s'adresse à Johnny Hallyday mais aussi à sa famille. "Johnny et sa famille. Je t'aime Johnny, je t'aime Johnny, je t'aime Johnny, je t'aime Johnny. Pour toujours et à jamais", a-t-il publié, message hommage accompagné d'un photo du Taulier sur scène, Jade et Joy à ses côtés.

Ce n'est pas la première fois que Mickey Rourke s'adresse aux proches de Johnny Hallyday. En mai dernier, la star s'était adressée à Laura Smet, évoquant la bataille judiciaire qui l'oppose à Laeticia Hallyday. "C'était si sympathique de parler avec toi, de Johnny." "Il nous a tous quittés trop tôt et je suis triste d'entendre que David et toi devez gérer une bataille si désagréable", avait-il notamment écrit.

Quelques jours plus tôt, Mickey Rourke avait publié une photo de Johnny et Laeticia Hallyday en compagnie de leur chienne Cheyenne. "L'amour vrai (Johnny et Laeticia). Je vous aime, Mickey... Garde-moi une place (RIP)", avait-il commenté à cette occasion. L'acteur avait reçu de poignants mots de la dernière épouse du Taulier en réaction. "Je connais quelques hauts et des très très bas. Je m'effondre pour me réveiller encore et encore. Toutes ces premières fois sans mon homme sont extrêmement violentes. La peine fait malheureusement partie de mon quotidien, je dois apprendre à vivre avec, comme à vivre sans lui. Il me manque comme tu dois l'imaginer... C'était une béquille sur laquelle je pouvais m'appuyer confortablement, une épaule sur laquelle je pouvais pleurer et des bras dans lesquels je pouvais me reposer et me laisser aller", avait-elle notamment témoigné.