Trois mois après la polémique sur le maquillage de sa fille Princess (8 ans, née de son mariage avec Peter Andre), Katie Price fait à nouveau débat. Lors de son récent passage sur le plateau de l'émission Loose Women, l'ancien mannequin anglais de 37 ans évoquait la maladie de son fils Harvey (13 ans, né de ses amours avec le footballeur Dwight Yorke) qui souffre du syndrome de Prader-Willi.
Le handicap du jeune garçon, autiste et aveugle, n'est pas toujours facile à porter et la star de l'émission de télé-réalité I'm a Celebrity... Get me out of here ! reconnaissait que si elle avait été mise au courant de la situation lors de sa grossesse à 23 ans, son choix aurait sûrement été différent. "J'étais jeune quand j'ai eu Harvey et je dois le reconnaître : si j'avais su à ce moment-là qu'il était aveugle, aussi horrible que cela puisse paraître, j'aurais sûrement avorté", a-t-elle déclaré, tout en assurant qu'aujourd'hui, elle ne regrettait en aucun cas sa décision.
"J'aime Harvey plus que tout, je ne changerais rien chez lui. C'est difficile mais en même temps tellement gratifiant. Il a un super caractère, je l'aime. Personne ne devrait avoir honte d'avoir un enfant handicapé. Si on me disait aujourd'hui que j'allais avoir un enfant handicapé, je le garderais sans hésiter. J'en adopterais un, même", ajoutait-elle.
Mais ses propos, immédiatement repris et montés en épingle, ont fait polémique sur la Toile, forçant la femme du strip-teaseur volage Kieran Hayler à réagir afin de mettre les choses au clair.
"Je suis très en colère que certaines personnes aient sorti mes propos de leur contexte. Harvey est toute ma vie, je suis si fière de lui", s'est-elle défendue sur les réseaux sociaux. À sa décharge, celle qui est aussi maman de Junior (10 ans), Jett (2 ans) et Bunny (16 mois) n'a jamais failli à son devoir de mère depuis la naissance de son fils autiste, contrairement à son père qui refuse de le voir depuis douze ans maintenant. Une absence qui doit certainement bien plus faire souffrir Harvey que les propos de sa mère.
Coline Chavaroche