En quelques minutes, Kim Kardashian a empoché une véritable petite fortune. Ce 10 septembre 2019 marquait le lancement de sa marque de sous-vêtements gainants, SKIMS. Une poignée de secondes plus tard, chaque pièce de la ligne avait été vendue, engendrant pas moins de 2 millions de dollars de bénéfices, selon des sources citées par TMZ.com.
C'est un score sans précédent pour une marque de sous-vêtements sculptants, surtout pour une première journée de ventes. À titre d'exemple, la marque Spanx, une des meilleures références sur le marché, a engendré 4 millions de dollars de bénéfices en une année. SKIMS a fait la moitié de ce chiffre en quelques secondes.
Il y avait tellement de visites sur le site avant l'heure du lancement que le site de SKIMS a lâché, obligeant Kim Kardashian à repousser l'ouverture des ventes à une heure plus tard. Des sources ont également appris à TMZ.com que "des milliers d'articles" étaient proposés à la vente. Les sous-vêtements sont en vente à des prix n'excédant pas 100 euros, compris dans une fourchette allant de 20 à 80 euros selon les modèles. Il faudra attendre que le site soit réapprovisionné pour pouvoir les tester...
Un lancement très réussi, surtout lorsqu'on sait que sa ligne de sous-vêtements gainants a vécu une large polémique à travers le monde. D'abord appelée Kimono, la marque a changé de nom après que la belle brune a été accusée d'appropriation culturelle par la communauté japonaise. Malgré le beau jeu de mots et après une forte mobilisation sur les réseaux sociaux, la mairie de Kyoto s'était même inquiétée de la "mauvaise compréhension de ce qu'est le kimono en raison de la puissante influence de Mme Kardashian", invitant la star à une initiation à la culture de ce vêtement traditionnel et chargé de sens. La mère de famille s'était ensuite excusée publiquement, avant de sortir, bonne joueuse, sa marque sous un nouveau nom : SKIMS.