Laetitia Casta au dîner d'ouverture du 67e Festival du film de Cannes, le 14 mai 2014© BestImage
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Laetitia Casta, complètement gauche lorsqu'elle est amoureuse ? La star de la mode et du cinéma se révèle touchante et irrésistible dans Sous les jupes des filles, la réalisation d'Audrey Dana qui explore la féminité sans tabou, avec tendresse et humour. À l'occasion de sa nouvelle performance pleine de romantisme, Purepeople.com vous propose de retrouver les différents rôles de la comédienne qui riment avec amour.
Pour ses débuts au cinéma, Laetitia Casta joue la fameuse Falbala dans Astérix et Obélix contre César (1999). Le rôle lui va comme un gant et elle est parfaite dans la personnification humaine de ce personnage de bande dessinée. Le fait qu'Obélix (Gérard Depardieu) tombe sous son charme n'a rien d'étonnant, mais si la belle est très touchée par le tendre Gaulois, son coeur est pris par Tragicomix. Des premiers pas sur grand écran dans une superproduction où elle est comme toujours sublime, mais elle se révélera plus audacieuse dans ses choix de rôles suivants.
Dans Rue des plaisirs de Patrice Leconte (2002), Laetitia Casta tient le rôle principal, celui d'une pensionnaire de la maison close Le Palais oriental. Elle est Marion, qui rêve de devenir chanteuse. Elle se lance à la recherche de l'homme qu'elle aime, Dimitri Josco (Vincent Elbaz). Petit Louis (Patrick Timsit), homme à tout faire du Palais oriental, profondément amoureux d'elle, la suit dans ses pérégrinations.
Présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, The Island (2011), du réalisateur bulgare Kamen Kalev, offre un rôle très fort à Laetitia Casta, sous le signe de la passion et des tourments de la mémoire : à Paris, Sophie et Daneel, la trentaine, vivent une histoire d'amour fusionnelle. Sophie décide d'organiser un voyage surprise en Bulgarie. À leur arrivée, elle découvre la raison des réticences de Daneel : il est né et a grandi là-bas dans un orphelinat... "Une liberté et une impétuosité de geste bien éloignées du tout-venant du cinéma d'auteur international" (Les Cahiers du cinéma). Laetitia Casta ose un cinéma qui ne ressemble à aucun autre.
Comment gérer le pari de son mari, celui de se filmer en train de coucher avec son meilleur ami ? Dans le remake d'Humpday, Do Not Disturb (2012), Laetitia Casta joue l'épouse dépassée d'Yvan Attal, face à son délire cinématographique avec son grand copain François Cluzet. "Se démarquant du film américain qu'il reprend, Yvan Attal a étoffé le rôle de la femme de Ben, Anna, jouée par Laetitia Casta, et a ainsi abordé la thématique du couple : 'En fouillant le personnage féminin, je me suis intéressé au couple : quelle est la place d'Anna dans le trio ?', se demande le réalisateur" (Allociné).
Laetitia Casta a côtoyé les extrêmes avec Une histoire d'amour, d'Hélène Fillières, adapté du roman de Régis Jauffret, Sévère. Le livre était inspiré d'un fait divers de 2005 : le banquier Edouard Stern est retrouvé assassiné à Genève et sa maîtresse, Cécile Brossard, est accusée du meurtre. "Comme une grande romantique. Ce million qu'elle attend de lui, c'est un pacte, un engagement, une bague d'amour. Il lui répond : 'C'est cher payé pour une pute', des mots blessants dits volontairement pour qu'elle perde son sang-froid et tire sur lui. Ils entretiennent un rapport masochiste extrême d'où il sort gagnant, puisqu'elle le tue" (Laetitia Casta pour L'Express).
Sous les jupes des filles, en salles le 4 juin
Pour ses débuts au cinéma, Laetitia Casta joue la fameuse Falbala dans Astérix et Obélix contre César (1999). Le rôle lui va comme un gant et elle est parfaite dans la personnification humaine de ce personnage de bande dessinée. Le fait qu'Obélix (Gérard Depardieu) tombe sous son charme n'a rien d'étonnant, mais si la belle est très touchée par le tendre Gaulois, son coeur est pris par Tragicomix. Des premiers pas sur grand écran dans une superproduction où elle est comme toujours sublime, mais elle se révélera plus audacieuse dans ses choix de rôles suivants.
Dans Rue des plaisirs de Patrice Leconte (2002), Laetitia Casta tient le rôle principal, celui d'une pensionnaire de la maison close Le Palais oriental. Elle est Marion, qui rêve de devenir chanteuse. Elle se lance à la recherche de l'homme qu'elle aime, Dimitri Josco (Vincent Elbaz). Petit Louis (Patrick Timsit), homme à tout faire du Palais oriental, profondément amoureux d'elle, la suit dans ses pérégrinations.
Présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, The Island (2011), du réalisateur bulgare Kamen Kalev, offre un rôle très fort à Laetitia Casta, sous le signe de la passion et des tourments de la mémoire : à Paris, Sophie et Daneel, la trentaine, vivent une histoire d'amour fusionnelle. Sophie décide d'organiser un voyage surprise en Bulgarie. À leur arrivée, elle découvre la raison des réticences de Daneel : il est né et a grandi là-bas dans un orphelinat... "Une liberté et une impétuosité de geste bien éloignées du tout-venant du cinéma d'auteur international" (Les Cahiers du cinéma). Laetitia Casta ose un cinéma qui ne ressemble à aucun autre.
Comment gérer le pari de son mari, celui de se filmer en train de coucher avec son meilleur ami ? Dans le remake d'Humpday, Do Not Disturb (2012), Laetitia Casta joue l'épouse dépassée d'Yvan Attal, face à son délire cinématographique avec son grand copain François Cluzet. "Se démarquant du film américain qu'il reprend, Yvan Attal a étoffé le rôle de la femme de Ben, Anna, jouée par Laetitia Casta, et a ainsi abordé la thématique du couple : 'En fouillant le personnage féminin, je me suis intéressé au couple : quelle est la place d'Anna dans le trio ?', se demande le réalisateur" (Allociné).
Laetitia Casta a côtoyé les extrêmes avec Une histoire d'amour, d'Hélène Fillières, adapté du roman de Régis Jauffret, Sévère. Le livre était inspiré d'un fait divers de 2005 : le banquier Edouard Stern est retrouvé assassiné à Genève et sa maîtresse, Cécile Brossard, est accusée du meurtre. "Comme une grande romantique. Ce million qu'elle attend de lui, c'est un pacte, un engagement, une bague d'amour. Il lui répond : 'C'est cher payé pour une pute', des mots blessants dits volontairement pour qu'elle perde son sang-froid et tire sur lui. Ils entretiennent un rapport masochiste extrême d'où il sort gagnant, puisqu'elle le tue" (Laetitia Casta pour L'Express).
Sous les jupes des filles, en salles le 4 juin