L'affiche du film La Planète des singes - les origines
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La révolution a commencé : ce sont les primates qui en sont les auteurs. La première séance parisienne au cinéma ce 10 août est dominée par La Planète des singes : les origines, qui a attiré près de 4 000 spectateurs dans la capitale. Le quatuor de tête des sorties de la semaine est ensuite composé de Green Lantern, mais le super-héros est bien loin derrière, de Melancholia, oeuvre du controversé Lars Von Trier, puis de Mes Meilleures Amies.
Précédé par de bonnes critiques, La Planète des Singes - les origines a séduit les spectateurs. Effets spéciaux virtuoses avec la technique du motion capture (captation de mouvements utilisée dans Avatar par exemple), scénario qui développe l'aspect psychologique des personnages et scènes d'action bluffantes : il y a de quoi satisfaire une grande part du public. Aux Etats-Unis, le film a réussi un bon démarrage avec 54 millions de dollars pour son premier week-end. En l'absence de superstars (James Franco et Freida Pinto sont certes glamour, mais pas ultra-bankable), ce long métrage bénéficie du talent d'Andy Serkis, alias Cesar, le singe leader.
Bien loin se trouve le super-héros Green Lantern, avec un démarrage faible de 1 247 billets vendus. Personnage peu connu en France de l'univers de DC Comics, le héros tout vert n'attire pas les foules. Melancholia, avec Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg (1 044 entrées) et Mes Meilleures amies, le Very Bad Trip au féminin (1 018 entrées), se classent juste après. Il est possible que le bouche-à-oreille permettent à cette comédie délirante de cartonner sur le long terme, à l'image de ses résultats au box-office américain.
Précédé par de bonnes critiques, La Planète des Singes - les origines a séduit les spectateurs. Effets spéciaux virtuoses avec la technique du motion capture (captation de mouvements utilisée dans Avatar par exemple), scénario qui développe l'aspect psychologique des personnages et scènes d'action bluffantes : il y a de quoi satisfaire une grande part du public. Aux Etats-Unis, le film a réussi un bon démarrage avec 54 millions de dollars pour son premier week-end. En l'absence de superstars (James Franco et Freida Pinto sont certes glamour, mais pas ultra-bankable), ce long métrage bénéficie du talent d'Andy Serkis, alias Cesar, le singe leader.
Bien loin se trouve le super-héros Green Lantern, avec un démarrage faible de 1 247 billets vendus. Personnage peu connu en France de l'univers de DC Comics, le héros tout vert n'attire pas les foules. Melancholia, avec Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg (1 044 entrées) et Mes Meilleures amies, le Very Bad Trip au féminin (1 018 entrées), se classent juste après. Il est possible que le bouche-à-oreille permettent à cette comédie délirante de cartonner sur le long terme, à l'image de ses résultats au box-office américain.