Maison de stars : Julian Alaphilippe et Marion Rousse installés dans un paradis fiscal, des voisins connus dans les parages

Julian Alaphilippe est enfin de retour sur les routes du Tour de France après sa grande absence l'an passé. Le chouchou des Français espère bien renouer avec son public. Considéré comme l'un des favoris des derniers championnats de France, le coureur de la Soudal Quick-Step a malheureusement une défaillance et a dû abandonner. Mais il tient à être rassurant et se dit satisfait de sa préparation. Alors que samedi 1er juillet, sera lancée la 110e édition du Tour de France, où vit Julian Alaphilippe quand il n'est pas en compétition ? Avec Marion Rousse, la mère de son petit Nino, le coureur s'est installé dans un petit paradis fiscal.

Notre champion du monde s'est en effet installé à La Massana, en Andorre, juste après le Tour de France 2018. C'est sur les conseils de son patron Patrick Lefèvre que le sportif s'est décidé. Alors que Remco Evenepoel visitait des appartements à Monaco, il lui a rappelé les bienfaits du sommeil en altitude : "Si tu vis à 1800 mètres, plus besoin de faire des stages !" Alors forcément, cela a convaincu ce perfectionniste. Et puis, pour les cyclistes, la situation d'Andorre est idéale et celle de La Massana, au nord-ouest de la Principauté avec des rampes célèbres à escalader, au carrefour des cols de Pal et d'Ordino, est encore plus adaptée.

D'autant qu'Andorre est une petite principauté indépendante située entre la France et l'Espagne, dans les Pyrénées, connue pour ses stations de ski toute autant que pour sa réputation de paradis fiscal. Ce qui encourage la vente hors taxes. La TVA est de 4,5 % et l'impôt sur le revenu de 10 % maximum, apprend-on. La capitale, Andorre-la-Vieille compte plusieurs boutiques et bijouteries sur l'avenue Meritxell, ainsi que plusieurs centres commerciaux, non loin du quartier de Barri Antic, qui abrite l'église romane de Santa Coloma et son beffroi circulaire. "Déjà, c'est un magnifique endroit, avait expliqué Julian Alaphilippe au Parisien, en juillet 2021. J'y ai trouvé de l'apaisement. Et c'est un excellent terrain de jeu. Ce n'est pas pour rien que nous sommes autant à nous y installer. Il y a beaucoup de cols. [...] Parler uniquement de paradis fiscal, ce sont des bêtises."