Comme pour une finale de coupe du monde ou une élection présidentielle, il faut à la fin choisir un camp : Meghan et Harry d'un côté ou la famille royale britannique de l'autre. Michelle Obama a ainsi pris la défense de l'ex-actrice américaine. Interrogée par Access Hollywood sur l'interview évènement de la duchesse de Sussex à Oprah Winfrey, l'ancienne première dame a accordé son soutien à Meghan Markle, lui souhaitant de résoudre ses problèmes avec la monarchie.
"Quand je pense à ce qu'ils traversent, je pense à l'importance de la famille et je prie pour qu'ils obtiennent la rédemption, la clarté et de l'amour pour tout résoudre à un moment. Parce qu'il n'y a rien de plus important que la famille", a espéré Michelle Obama. Un joli message plein d'optimise alors qu'on imagine que les deux clans sont en train de résoudre leurs différents.
Dans leur interview à Oprah Winfrey dimanche 7 mars, Meghan Markle (39 ans) et le prince Harry (36 ans) expliquaient notamment avoir subi des formes d'abus en tant que membres seniors de la famille royale. Ils expliquaient avoir subi le racisme de certains membres de la Couronne, qui s'inquiétaient de la couleur de peau "foncée" de leur futur bébé, Archie, lorsqu'il naîtrait. "Comme je l'ai déjà dit auparavant, la question de la race n'est pas une construction nouvelle dans ce monde pour les gens de couleur et donc ce n'était pas une totale surprise d'entendre ses sentiments sur ce sujet et de les entendre s'articuler sur une question précise", a ajouté Michelle Obama auprès de Today.
Documents d'identité confisqués, aucun suivi psychologique après les pensées suicidaires de Meghan, censure de la parole, impossibilité de répondre à la presse, fausses informations lâchées aux tabloïds... Meghan Markle et le prince Harry déploraient avoir vécu une période assez difficile de leur vie, soulignant un sentiment d'abandon. Après ces accusations, la reine Elizabeth II réagissait dans un communiqué, se disant "concernée" par ces faits supposés de racisme. "Harry, Meghan et Archie seront toujours des membres très aimés de la famille". "Nous ne sommes véritablement pas une famille raciste", avait assuré de son côté le prince William auprès d'un journaliste.