La garde-robe de la duchesse de Sussex a quelque peu changé depuis qu'elle a quitté la monarchie et regagné son pays natal... Le 1er octobre 2020, depuis leur nouvelle villa de Santa Barbara, Meghan Markle et le prince Harry ont pris part à une nouvelle visioconférence avec le journal anglais Evening Standard, le temps d'une interview sur les injustices raciales et le mouvement Black Lives Matter. L'occasion pour l'ex-actrice de dévoiler un nouveau look original, tout en donnant des nouvelles de son petit Archie (16 mois).
Tout sourire dans son salon, digne d'un magazine de décoration, l'Américaine de 39 ans est apparue en pleine forme. Les cheveux plaqués en un joli chignon brillant, un teint glowy à souhait... Mais c'est surtout sa tenue qui a attiré l'attention : un top asymétrique camel en laine, à manches longues, mettant en valeur ses épaules. Il s'agit d'un modèle de la griffe Victor Glemaud, toujours en vente au prix de 320 euros. Comme à son habitude, Meghan Markle met à profit sa notoriété en misant sur des marques engagées : Victor Glemaud, styliste new-yorkais d'origine haïtienne, a lancé sa marque éponyme en 2006 pour habiller tous les genres, toutes les races, tailles et personnalités, avec confort et style. Une initiative parfaitement en accord avec les valeurs que défend la duchesse de Sussex.
Pour compléter son look, Meghan Markle a opté pour l'une de ses créatrices fétiches avec un pantalon en cuir végétal marron de chez Stella McCartney. Un modèle respectueux de l'environnement, autre cause chère à la duchesse, qui coûte tout de même 625 euros... Déjà le 24 septembre dernier, lors d'une apparition remarquée dans l'émission America's Got Talent, la duchesse s'était illustrée dans un pantalon similaire. Un choix mode remarqué puisqu'elle s'abstenait de porter ce type de pièces fortes lorsqu'elle était un membre actif de la famille royale.
Depuis le Megxit et son déménagement en Californie en mars dernier, Meghan Markle a non seulement gagné en liberté vestimentaire, mais surtout en liberté de parole, quitte à s'attirer une fois encore les foudres de Britanniques quand elle parle des élections présidentielles américaines...