Diva et mamma, Monica Bellucci assume pleinement ses deux fonctions. Glamourissime devant les objectifs des photographes en tant qu'égérie de Dolce & Gabbana, la star italienne de 48 ans, épouse de Vincent Cassel et mère de Deva, 9 ans, et Leonie, 3 ans, se livre dans les pages du magazine Madame Figaro, dont elle fait la couverture.
Prochainement sur les écrans dans le nouveau film du réalisateur d'Underground, Emir Kusturica, baptisé L'Amour et la paix, avant de tourner avec Alice Rohrwacher remarquée avec Corpo Celeste, l'ancien top model Monica Bellucci se confie sur sa vie quotidienne pour les lectrices de Madame Figaro. Elle s'approche de la cinquantaine mais cela ne lui fait pas peur, estimant entrer dans une nouvelle phase après avoir passé ces dix dernières années avec ses deux filles. Elle précise à la journaliste qu'elle est intarissable sur la maternité : "Je suis une vraie mamma italienne", clame-t-elle. Elle ne cache pas que dans son mode de vie de nomade avec l'acteur français - entre Rome, Paris et le Brésil -, c'est elle qui garde les enfants, tout en précisant : "Vincent est un père aimant et très présent, mais la 'mamma è sempre la mamma ! [la mère est toujours la mère]"
Cependant, la comédienne est tout à fait conscience d'être dans une situation psychologique et économique avantageuse. Elle profite également de cet entretien pour aborder le sujet de l'émancipation des femmes, estimant qu'on peut être féminine et émancipée à la fois. En parlant de relation avec les hommes, elle ne peut éviter de parler de l'amour et de son époux Vincent Cassel, mais pas question de lui demander la recette de son couple, puisqu'il n'y a pas de miracle : "L'important, c'est une forme d'amour qui doit rester ancrée pour toujours."
Femme amoureuse et mère heureuse, Monica Bellucci affronte le temps avec sérénité. Ses filles grandissent, et si l'aînée, Deva, qui parle déjà quatre langues, se lançait dans une carrière de mannequin ? Elle ne s'y opposerait pas, ne voulant pas empêcher son enfant d'avoir tenté comme elle l'a fait. Quant au temps qui passe et marque les visages, elle n'en a pas peur. La chirurgie, pourquoi pas avait-elle dit, mais c'est rarement bien fait : "Pour le moment, je vis très bien avec mes petites ridules. [...] Je n'ai pas peur de vieillir, je ne crains que la maladie."
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Madame Figaro du 26 juillet