Avec Quelque part dans cette vie, la pièce d'Israël Horovitz adaptée par Jean-Loup Dabadie et mise en scène par Bernard Murat qu'il joue en ce moment au théâtre Édouard-VII avec Emmanuelle Devos, Pierre Arditi brûle les planches. Le comédien était donc devant le micro d'Audrey Crespo-Mara le 25 mars sur LCI pour parler d'art mais pas seulement. Même s'il a commencé par dire qu'il ne voulait pas s'exprimer sur le sujet, il a fini par donner son opinion sur l'affaire de l'héritage de Johnny Hallyday...
"Je ne suis d'aucun côté et cette histoire je ne veux plus en entendre parler, ça ne me regarde absolument pas. J'ai eu l'occasion de connaître agréablement Johnny Hallyday, sans être un intime. Cette histoire me semble folle. Je ne comprends pas comment on peut déshériter ses enfants et, en même temps, tout ça est un salmigondis de choses d'une complexité tellement folles qu'en aucun cas, je ne veux prendre parti pour les uns ou pour les autres. J'adorais Johnny Hallyday, comme tout le monde j'ai aimé ce qu'il chantait. Je connais Laeticia, je connais Laura Smet un petit peu et David, on a dû se dire bonjour trois fois...", explique dans un premier temps le bien-aimé d'Evelyne Bouix.
Pour autant, il ne cache pas sa stupéfaction face à la place accordée aux aînés de Johnny dans son ultime testament : "Il y a des choses qui, à un moment donné, me choquent. Je ne comprends pas comment on peut déshériter ses enfants, ça n'est pas dans notre culture à nous. En France, ça n'existe pas ça. Qu'ils n'aient plus de droit de regard, qu'ils ne soient pas confrontés au disque qui va sortir, non pas pour changer ce qui a été fait mais simplement pour partager cette histoire-là, ça me perturbe."
Le fils de Sylvie Vartan et la fille de Nathalie Baye affronteront de nouveau la veuve de l'icône le 30 mars lors d'une audience capitale au tribunal de grande instance de Nanterre.