Nicolas Canteloup : Il a travaillé avec une star montante de l'humour... au Club Med !

Il est de retour depuis une semaine déjà sur TF1 juste après le JT de 20 heures : Nicolas Canteloup, dans sa pastille humoristique et technologique C'est Canteloup ! L'émission courte, qui permet à l'humoriste d'imiter de nombreuses personnalités grâce à sa voix et le deep fake, et qu'il co-présente aux côtés d'Hélène Mannarino, avait réuni 3,7 millions de téléspectateurs pour le début de sa nouvelle saison.

A l'occasion de cette rentrée un peu tardive fin septembre, celui qui avait évoqué comme jamais ses relations avec sa co-animatrice avait répondu à plusieurs interviews dans la presse. A commencer par celle de nos confrères de Télé 2 Semaines. Mais saviez-vous qu'un de ses auteurs de sketchs était un humoriste qui a le vent en poupe ? Son nom : Philippe Caverivière, le même qui officie désormais sur RTL et dans Quelle époque ! sur France 2 aux côtés de Léa Salamé. "C'est mérité", a commenté Nicolas Canteloup à propos de son succès. Et de chanter ses louanges : "Philippe est drôle, il écrit bien et c'est un travailleur acharné. Je le connais depuis trente ans car nous étions G.O. au Club Med. Ensemble, nous avons écrit mes premiers spectacles et il me rejoignait sur scène. Aujourd'hui, je le pousse à créer le sien."

Des vannes tellement drôles que, même trash, elles sont imparables

Puis, c'est dans les colonnes de Télé Poche qu'il s'était ouvert sur le sujet : "Philippe a les pieds sur terre. Je ne suis pas inquiet pour lui. C'est un gros bosseur, il est très doué et je me réjouis de ce qui lui arrive. Il a imposé un personnage, avec des vannes tellement drôles que, même trash, elles sont imparables."

C'est à partir de 1991 que Nicolas Canteloup, également moniteur d'équitation, avait intégré les équipes du Club Med. Auprès de nos confrères de Psychologies, il était revenu sur sa décision de tenter sa chance dans l'art, lui qui avait alors eu du flair : "À un moment donné, j'ai eu un choix à faire : revenir au vrai métier du cheval, viser un poste de chef de village au Club Med ou tenter ma chance à Paris. Je me suis dit : si je fais du spectacle, je pourrai toujours trouver du temps et de l'argent pour monter à cheval, alors que si je me consacre pleinement au cheval ou si je voyage avec le Club Med, je n'aurai plus le temps pour rien d'autre. Donc, j'ai tenté ma chance à Paris. Mais jamais je n'aurais soupçonné pouvoir y faire carrière. Moi, mon défi, c'était juste de réussir à tenir l'attention de cinquante personnes pendant une heure sur scène. C'était cela qui m'attirait."