Nikos Aliagas, sa passion pour la photo remonte à son enfance.© Nikos Aliagas
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En l'espace de trois ans, il a multiplié par sept le nombre de ses followers sur Twitter. Animateur le plus présent sur ce réseau social (et de loin !), Nikos Aliagas affiche aujourd'hui 550 000 abonnés. Une omniprésence qui lui a d'ailleurs valu une caricature dans les Guignols de l'Info comme "star de la blogosphère".
C'est d'ailleurs à travers ce média grandissant qu'est Twitter que Nikos Aliagas exprime l'une de ses passions les plus dévorantes : la photographie. Un culte qui le conduit à vérifier chaque détail avant un entretien avec une personnalité : éclairage, ambiance... Rien n'est laissé au hasard. Le souci du détail, voilà ce qui anime le présentateur de The Voice. Aussi, chaque temps important de sa carrière est immortalisé par un cliché, généralement posté sur Twitter.
Sa rencontre avec Samuel L. Jackson pour Captain America, son interview de Robbie Williams, les confidences de son ami Johnny Hallyday, ses entretiens privilégiés avec Leonardo DiCaprio ou encore Patrick Bruel... Autant d'instants forts qu'il ne pouvait laisser s'envoler sans en garder une trace.
"J'ai la chance de rencontrer du monde, d'avoir des gueules en face de moi", expliquera Nikos à nos confrères du Parisien, qui dédiaient un article complet à sa passion pour la photo ce dimanche 20 avril. Aux commandes de 50 Minutes Inside chaque samedi (avec Sandrine Quétier) sur TF1, et des Incontournables d'Europe 1, pour exprimer son goût pour la bonne musique, il fait ami-ami avec des artistes venus d'horizons divers qui se prêtent au jeu de la photo souvenir. Toujours sublimées par les talents de photographe du journaliste natif d'Athènes, certaines ont atterri dans Nikos Now, l'ouvrage consacré à la photographie publié par Nikos en 2011 (aux éditions Acanthe). D'autres ont été exposées au prestigieux Studio Harcourt à Paris.
"J'y vais à la hussarde. Même avec les équipes américaines, je me débrouille pour choper quinze secondes. Je veux juste un moment de vérité", explique-t-il. Le temps du cliché, le temps s'arrête et les barrières de la promo de l'artiste sautent. Le vrai tête-à-tête, celui qui transpire de sincérité, commence alors : "Faire une photo de quelqu'un, c'est intime. À toi de trouver la fêlure."
Pour autant, pas question de soutirer cet instant sous la contrainte : "Je demande toujours la permission avant de photographier quelqu'un. (...) On ne peut pas voler les gens. Quand je sens que quelqu'un n'a pas envie, je ne publie pas la photo. (...) La façon dont se déroule la photo dépend beaucoup de celle dont s'est passée l'interview."
Son modèle préféré ? Sa fille Agathe, 1 an et demi. "Avec elle, j'ai déjà cramé deux téléphones. Je la prends en photo et la filme tous les matins. Je vois comme elle grandit et comment moi je grandis... Comment je deviens papa", confie-t-il avec émotion. Dans ses téléphones portables, son ordinateur ou son iPad, plusieurs milliers de photos s'amassent. Toutes ont une histoire.
Joachim Ohnona
C'est d'ailleurs à travers ce média grandissant qu'est Twitter que Nikos Aliagas exprime l'une de ses passions les plus dévorantes : la photographie. Un culte qui le conduit à vérifier chaque détail avant un entretien avec une personnalité : éclairage, ambiance... Rien n'est laissé au hasard. Le souci du détail, voilà ce qui anime le présentateur de The Voice. Aussi, chaque temps important de sa carrière est immortalisé par un cliché, généralement posté sur Twitter.
Sa rencontre avec Samuel L. Jackson pour Captain America, son interview de Robbie Williams, les confidences de son ami Johnny Hallyday, ses entretiens privilégiés avec Leonardo DiCaprio ou encore Patrick Bruel... Autant d'instants forts qu'il ne pouvait laisser s'envoler sans en garder une trace.
"J'ai la chance de rencontrer du monde, d'avoir des gueules en face de moi", expliquera Nikos à nos confrères du Parisien, qui dédiaient un article complet à sa passion pour la photo ce dimanche 20 avril. Aux commandes de 50 Minutes Inside chaque samedi (avec Sandrine Quétier) sur TF1, et des Incontournables d'Europe 1, pour exprimer son goût pour la bonne musique, il fait ami-ami avec des artistes venus d'horizons divers qui se prêtent au jeu de la photo souvenir. Toujours sublimées par les talents de photographe du journaliste natif d'Athènes, certaines ont atterri dans Nikos Now, l'ouvrage consacré à la photographie publié par Nikos en 2011 (aux éditions Acanthe). D'autres ont été exposées au prestigieux Studio Harcourt à Paris.
"J'y vais à la hussarde. Même avec les équipes américaines, je me débrouille pour choper quinze secondes. Je veux juste un moment de vérité", explique-t-il. Le temps du cliché, le temps s'arrête et les barrières de la promo de l'artiste sautent. Le vrai tête-à-tête, celui qui transpire de sincérité, commence alors : "Faire une photo de quelqu'un, c'est intime. À toi de trouver la fêlure."
Pour autant, pas question de soutirer cet instant sous la contrainte : "Je demande toujours la permission avant de photographier quelqu'un. (...) On ne peut pas voler les gens. Quand je sens que quelqu'un n'a pas envie, je ne publie pas la photo. (...) La façon dont se déroule la photo dépend beaucoup de celle dont s'est passée l'interview."
Son modèle préféré ? Sa fille Agathe, 1 an et demi. "Avec elle, j'ai déjà cramé deux téléphones. Je la prends en photo et la filme tous les matins. Je vois comme elle grandit et comment moi je grandis... Comment je deviens papa", confie-t-il avec émotion. Dans ses téléphones portables, son ordinateur ou son iPad, plusieurs milliers de photos s'amassent. Toutes ont une histoire.
Joachim Ohnona