Sophie Favier peut être fière : elle a déjà perdu 10 kilos en un mois. Mais Le Défi de Sophie continue et l'animatrice télé a décidé de devenir perfectionniste. Place à la médecine esthétique !
Le 4 novembre, Sophie Favier se lançait dans une mission de taille(s) : un régime sous forme de challenge proposé par Gala. Pour Le Défi de Sophie, l'animatrice doit se délester de 15 kilos en trois mois. À M+1, elle affiche déjà 10 kg en moins sur la balance, comme le révèle le site du média aujourd'hui ! Et désormais, elle ne se refuse rien : botox, coolsculpting... tout est bon pour être belle !
Alors qu'elle continue de suivre les cours de sport du coach des stars Jean-Pierre Clémenceau, qui lui promet qu'elle sera aussi sexy que ses clientes Mélissa Theuriau, Alice Taglioni ou encore Virginie Efira, la maman de Carla, 20 ans, a décidé de faire une pause et de passer au changement de look. Direction l'institut Un jour, Un regard pour un rendez-vous avec la professionnelle de l'épilation des sourcils Sabrina Benali. Si Cara Delevingne et Penélope Cruz l'ont fait, pourquoi pas Sophie ? De nouveaux sourcils pour un nouveau regard. Puis, Sophie s'offre aussi un moment à l'institut Epilium, où le docteur Feignoux lui explique les bienfaits du CoolSculpting, une méthode pour regagner sa taille par refroidissement puis fonte des cellules graisseuses.
Enfin, elle prend rendez-vous chez le chirurgien Bernard Hayot, dans le huitième arrondissement parisien. À 52 ans, l'animatrice n'a encore jamais fait de médecine esthétique. Au terme de sa première consultation, Sophie expérimente le Botox sur le front, l'acide hyaluronique dans les sillons nasogéniens et le haut des joues, mais aussi les fils tenseurs résorbables pour redéfinir l'ovale de son visage.
Pour Le Défi de Sophie, pas question de baisser les bras ni de s'arrêter en si bon chemin. Et ce n'est pas son amoureux Bruno Proost, un forain qui gère les deux parcs d'attractions Le Royaume des enfants en région parisienne et avec lequel elle file le parfait amour depuis cinq ans, qui va s'en plaindre !