C'est une révélation qui a fait l'effet d'une bombe ! Dans la journée du dimanche 7 novembre, le journal Le Figaro a expliqué que Thomas Sotto annoncerait qu'il ne présenterait plus Élysée 2022, son émission politique lancée au mois de septembre sur France 2 avec Léa Salamé en marge des élections présidentielles. Le journaliste se retrouve dans une impasse puisqu'il serait en couple avec Mayada Boulos, qui n'est autre que la directrice de communication du Premier ministre Jean Castex.
Ainsi, comme d'autres avant lui, dont Léa Salamé, Thomas Sotto ne peut pleinement assurer son métier. Retrait qu'il a lui-même confirmé lors d'une interview pour Le Parisien. "Un événement personnel, que je ne souhaite pas développer car cela concerne ma vie privée, me pousse à prendre une décision simple et claire : le temps de la campagne présidentielle, j'ai choisi de me mettre en retrait d''Élysée 2022'", a-t-il officialisé. Thomas Sotto ne met pas pour autant un terme à son aventure avec France 2. Il restera par exemple aux commandes de Télématin avec Julia Vignali et continuera d'assurer les remplacements de Laurent Delahousse au 20 heures.
Si Thomas Sotto n'a pas hésité à se mettre en retrait de l'actualité politique par amour, cela n'a pas été sans "regret", comme il l'avoue. "C'est une décision difficile et, d'une certaine manière, assez injuste. Mais je me dois de tenir compte de notre époque, devenue très violente et qui a tendance à tout hystériser. La suspicion est généralisée. Beaucoup de gens s'érigent en procureurs. Par principe, avant même d'avoir ouvert la bouche, j'aurais été considéré comme coupable, même en étant irréprochable professionnellement. Je ne veux pas prêter le flanc à la moindre ambiguïté et prendre le risque de fragiliser le travail et la perception de la rédaction de France 2 à laquelle je suis viscéralement attaché", a-t-il déclaré.
Et pour lui de relativiser : "Ma seule consolation, c'est d'être le premier homme à s'effacer pour une femme, alors que jusqu'à présent c'était toujours elles qui étaient priées de rester à la maison."