Tony Parker, le 14 octobre 2011 à l'Astroballe de Villeurbanne© Abaca
Tony Parker est un homme sandwich. A tous les points de vue, cela s'entend.
Le meneur des San Antonio Spurs accumulent les contrats publicitaires depuis qu'il évolue dans le championnat nord américain de la NBA. Et sa carrière parle pour lui : trois fois champion NBA, Meilleur Joueur des finales 2007, quatre fois All Star...
Autant dire que sa récente seconde place obtenue aux Championnats d'Europe avec l'équipe de France risque de lui offrir de nouvelles opportunités niveau sponsoring, lui qui a déjà prêté son image à Nike, Kellogg's, Ferrero, Kinder Bueno, Electronic Arts, De Fursac, Vitaminwater, SFR, Tissot48, le site de paris en ligne Betclic, Axe et plus récemment Toupargel pour lequel il a tourné un spot publicitaire des plus convaincants.
Depuis le lock-out en NBA qui bloque le début de la saison, les joueurs français ont pris le chemin du retour, à l'image d'un Nicolas Batum à Nancy, d'un Boris Diaw à Bordeaux et d'un Tony Parler à l'ASVEL. Hasard ou coïncidence, le site Stratégie.fr annonce que le meneur tricolore va signer un contrat avec une célèbre chaîne de fast food pour en devenir l'égérie... Son nom, Quick ! Résultat, un burger pourrait prendre le nom de Tony Parker, et un spot publicitaire pourrait voir le jour dès le début de l'année 2012.
En attendant, la star pourra toujours aider son club de Villeurbanne, qui malgré sa présence n'a pu éviter un second revers en ce début de saison, cette fois-ci face à Gravelines. La première victoire de son histoire du côté de la banlieue lyonnaise pour cette équipe du Nord qui aura tout de même réussi à limiter Tony Parker à 18 points et 5 rebonds.
Une équipe de l'ASVEL qui pourrait bien voir dans les prochains jour débarquer Ronny Turiaf, intérieur explosif et proche de Tony Parker, en provenance des Knicks de New York.
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