Valérie Damidot – Sa maladie, son poids : "Je ne mange pas que de la choucroute"

Si elle a décidé de se dévoiler comme jamais dans Danse avec les stars 7 sur TF1, Valérie Damidot a également choisi d'en dire plus sur son parcours de vie avec la parution de son autobiographie Le Coeur sur la main, le doigt sur la gâchette (à paraître le 3 novembre 2016 aux éditions Michel Lafon).

Quelques jours avant cette parution, c'est à nos confrères du magazine Gala que l'ex-maroufleuse en chef de M6 dans D&co s'est confiée. Elle a ainsi révélé pourquoi elle avait eu ce besoin de se raconter : "Ma maman est décédée il y a quatre ans. Elle aurait tellement aimé que je retrace son histoire. Mon papa, lui, vieillit, et je souhaitais qu'il lise ce que je pense de lui, mon ressenti sur notre histoire. Moi aussi je vieillis. Je voulais raconter ce que j'ai vécu."

Grâce à ce livre, Valérie Damidot espère que le public la découvrira sous un jour nouveau, cette sympathique quinqua n'étant pas qu'une gouailleuse au "physique atypique" ! Elle a d'ailleurs tenu à revenir sur ce point. "Qu'on se le dise, je ne mange pas de la choucroute à chaque repas ! j'ai une maladie qui s'appelle l'hypothyroïdie, et ce n'est pas marrant. Pour DALS, j'ai même pris un coach avant le début des entraînements, tellement je suis nulle en sport. Résultat, j'ai perdu 9 kilos en deux mois. Mais ça ne veut rien dire. Il y a quatre ans, j'en avais perdu 26. Ça dépend surtout de l'effet de mes médicaments sur ma thyroïde. Quand ça ne marche pas, je gonfle, je m'alourdis, je fatigue", a révélé L'animatrice de 51 ans.

Enfin, Valérie Damidot – qui est très proche de ses enfants Roxane (23 ans) et Norman (21 ans) – l'a affirmé, ses proches, contrairement au public, ne vont pas apprendre des choses bouleversantes dans cet ouvrage tant la communication entre eux a toujours été importante et fluide. "Nous ne sommes pas une famille de taiseux", a-t-elle expliqué. Le chapitre dédié à l'ex-compagnon qui la battait, intitulé Le Connard, est un exemple de ce qu'elle peut aujourd'hui assumer de révéler au grand public sans faire de mal aux siens. "Je l'appelle ainsi parce qu'il ne mérite pas mieux. Ce chapitre, je l'ai sorti comme une agression verbale, mais je ne règle pas mes comptes dans mon livre. (...) Je raconte le mal qu'il m'a fait, mais je ne dis pas tout non plus. Le Connard n'a bien sûr pas lu le bouquin, mais j'imagine qu'il se reconnaîtra", a-t-elle conclu.

Une interview à découvrir en intégralité dans Gala, actuellement en kiosques.