"Une grande part de bonheur". Loin de l'image de femme brisée au lendemain de sa tonitruante séparation avec François Hollande, Valérie Trierweiler savoure aujourd'hui pleinement sa nouvelle vie loin de l'Elysée. En voyage humanitaire à Haïti, elle en a ainsi profité pour évoquer son ancienne vie au palais présidentiel devant la caméra de BFM TV. Une époque qu'elle est visiblement loin de regretter puisqu'elle n'y était "libre de rien" selon ses propres termes...
La liberté. Voilà ce qu'a gagnée Valérie Trierweiler en quittant l'Elysée quelques jours après les révélations de Closer sur la supposée aventure de François Hollande avec Julie Gayet. "Ça ne va pas si mal car il y a une chose extrêmement précieuse et sans doute je l'avais oubliée, c'est la liberté. Aujourd'hui, rien, rien, rien ne vaut la liberté !", répète-t-elle ainsi depuis Haïti.
Car comme la France entière l'avait bien compris, Valérie Trierweiler ne s'est jamais sentie vraiment à l'aise au palais présidentiel, où son passage restera marqué par quelques polémiques come la fameuse affaire du tweet. "Non, bien sûr que non je n'étais pas libre, pas libre de m'exprimer, même pas libre de penser, pas libre de parler, pas libre de bouger... libre de rien !", assure la marraine du Secours populaire.
Désormais, Valérie Trierweiler compte se consacrer à ses activités humanitaires et aspire à retrouver de la tranquillité. "Je demande qu'on me laisse tranquille, lance-t-elle. Je ne veux pas qu'on me catalogue parmi les peoples, je ne suis pas ça. J'ai le droit d'avoir une activité publique auprès du Secours populaire, le reste c'est ma vie", demande l'ex-première dame, dont l'un des trois fils vient d'être arrêté en possession de drogue.
Depuis son départ de l'Elysée, Valérie Trierweiler fait pourtant toujours la une des magazines et a même envahi les librairies avec l'ouvrage Le président qui voulait vivre ses vies (Ed. Fayard) d'Elise Karlin qui revient sur son histoire avec François Hollande. "La personne que l'ont décrit dans les livres, ce n'est pas moi", précise-t-elle toutefois. Alors que ce livre révélait qu'elle avait renoué le contact avec le président, elle a également affirmé qu'elle lui enverrait "fort probablement" un message pour l'alerter sur la situation d'Haïti, frappé par un terrible séisme en 2010.
Investie à 100% dans sa nouvelle vie consacrée à l'humanitaire, Valérie Trierweiler est désormais revenue à Paris, où elle participait aujourd'hui, mardi 13 mai, à une "marche des femmes" au Trocadéro, en soutien aux jeunes lycéennes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram au Nigeria. Elle y a notamment retrouvé une autre ancienne première dame, Carla Bruni-Sarkozy.