EXCLUSIF : Zahia Dehar lors du spectacle "Elektro Kif" de Blanca Li à La Cigale à Paris le 8 avril 2013© BestImage
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Avec son regard félin et ses courbes vertigineuses, Zahia Dehar, blonde ou brune, fait tourner les têtes. Depuis trois ans, la jeune femme de 21 ans travaille dur pour s'imposer dans la mode en tant que créatrice sexy, tout en menant une vie de princesse aussi fascinante que surprenante. Le magazine Paris Match s'est glissé dans son univers, entre Les Atelières à Villerbanne où se crée sa gamme de lingerie haut de gamme et ses bureaux.
C'est par le scandale que le prénom de Zahia est né médiatiquement en 2010, juste avant la Coupe du monde de football. Trois ans plus tard, la jeune femme s'impose autrement, dans la mode plus précisément. Séduisant Karl Lagerfeld et les plus grands photographes, elle est désormais connue dans ce monde si fermé. Après s'être lancée dans la lingerie haute couture, la voilà dans le prêt-à-porter, mais toujours de luxe. Elle travaille avec les ouvrières de l'usine Les Atelières, à Villeurbanne près de Lyon, dont une partie était salariée de la marque de lingerie Lejaby : "J'ai entendu parler de leur histoire et j'ai voulu travailler avec elles, explique Zahia. Ces femmes se reconstruisent comme moi."
Car des épreuves, Zahia en a connu. Elle ne renie pas son passé d'escort-girl mais ne veut pas retrouver le stress qu'elle a vécu à l'époque de sa violente médiatisation : "Je n'avais pas l'impression de faire quelque chose de mal, je m'amusais, j'aimais beaucoup sortir. L'affaire m'a rendue méfiante. Ce qui m'a le plus humiliée, c'est la publication des procès-verbaux dans les journaux." Elle préfère rester discrète, ne pas parler de sa vie privée et se concentrer sur ses créations, aux inspirations sucrées. Pour sa collection, elle s'est entourée de gens très motivés, comme Ionana Cracium, styliste, ou encore Yasmina Doumati, chef de projet, toutes deux issues de chez Christian Lacroix. Toujours suivie de son équipe (attaché de presse, publiciste, coiffeuse et maquilleuse), elle se veut impeccable en toute circonstance, épaulée par des proches comme Alexo, musicien et ami de longue date qui veille sur elle.
Son grand appartement étant en travaux, elle dort au Bristol. Dans ses bureaux, le show continue avec un personnel de haut niveau et discret, évoluant dans un univers rose et poudré qui aurait fait rêver Marie-Antoinette. Accompagnée de ses chiens, Miyuki et Enzo, Zahia s'exprime d'une voix fluette et bannit toute vulgarité ou familiarité de son vocabulaire et de son attitude. Zahia, c'est à la fois une demoiselle qui écoute Britney Spears et qui se veut femme d'affaires. Mais l'argent, aussi présent soit-il dans sa vie, elle ne s'en occupe pas vraiment. Elle voyage en avion privé, dort dans des hôtels luxueux, porte les toilettes les plus coûteuses... Paris Match dira que derrière la marque Zahia, il y a un fonds d'investissement basé en Chine, le First Mark Premier Concept, au capital de 100 000 euros, actionnaire minoritaire, à 10%, de la société. La jeune femme détiendrait le reste des parts. Mais les informations ne seront pas plus précises.
Ce qui importe à Zahia, c'est son travail. En juillet, elle présentera sa première collection de prêt-à-porter de lingerie en marge de la Semaine parisienne de la mode et elle assurera l'ouverture d'un pop-up store, pâtisserie-boudoir éphémère chez L'Éclaireur à Paris. Elle veut aussi oeuvrer pour les autres, les orphelins et les animaux. Émue, elle explique qu'elle aimerait ouvrir des institutions pour accueillir les défavorisés et permettre aux enfants de réaliser leur rêve. Le sien, Zahia est en train de le vivre. La jeune femme sera au programme de 7 à 8 sur TF1 le dimanche 16 juin, faisant l'objet du portrait de la semaine par Thierry Demaizière.
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Paris Match du 13 juin
C'est par le scandale que le prénom de Zahia est né médiatiquement en 2010, juste avant la Coupe du monde de football. Trois ans plus tard, la jeune femme s'impose autrement, dans la mode plus précisément. Séduisant Karl Lagerfeld et les plus grands photographes, elle est désormais connue dans ce monde si fermé. Après s'être lancée dans la lingerie haute couture, la voilà dans le prêt-à-porter, mais toujours de luxe. Elle travaille avec les ouvrières de l'usine Les Atelières, à Villeurbanne près de Lyon, dont une partie était salariée de la marque de lingerie Lejaby : "J'ai entendu parler de leur histoire et j'ai voulu travailler avec elles, explique Zahia. Ces femmes se reconstruisent comme moi."
Car des épreuves, Zahia en a connu. Elle ne renie pas son passé d'escort-girl mais ne veut pas retrouver le stress qu'elle a vécu à l'époque de sa violente médiatisation : "Je n'avais pas l'impression de faire quelque chose de mal, je m'amusais, j'aimais beaucoup sortir. L'affaire m'a rendue méfiante. Ce qui m'a le plus humiliée, c'est la publication des procès-verbaux dans les journaux." Elle préfère rester discrète, ne pas parler de sa vie privée et se concentrer sur ses créations, aux inspirations sucrées. Pour sa collection, elle s'est entourée de gens très motivés, comme Ionana Cracium, styliste, ou encore Yasmina Doumati, chef de projet, toutes deux issues de chez Christian Lacroix. Toujours suivie de son équipe (attaché de presse, publiciste, coiffeuse et maquilleuse), elle se veut impeccable en toute circonstance, épaulée par des proches comme Alexo, musicien et ami de longue date qui veille sur elle.
Son grand appartement étant en travaux, elle dort au Bristol. Dans ses bureaux, le show continue avec un personnel de haut niveau et discret, évoluant dans un univers rose et poudré qui aurait fait rêver Marie-Antoinette. Accompagnée de ses chiens, Miyuki et Enzo, Zahia s'exprime d'une voix fluette et bannit toute vulgarité ou familiarité de son vocabulaire et de son attitude. Zahia, c'est à la fois une demoiselle qui écoute Britney Spears et qui se veut femme d'affaires. Mais l'argent, aussi présent soit-il dans sa vie, elle ne s'en occupe pas vraiment. Elle voyage en avion privé, dort dans des hôtels luxueux, porte les toilettes les plus coûteuses... Paris Match dira que derrière la marque Zahia, il y a un fonds d'investissement basé en Chine, le First Mark Premier Concept, au capital de 100 000 euros, actionnaire minoritaire, à 10%, de la société. La jeune femme détiendrait le reste des parts. Mais les informations ne seront pas plus précises.
Ce qui importe à Zahia, c'est son travail. En juillet, elle présentera sa première collection de prêt-à-porter de lingerie en marge de la Semaine parisienne de la mode et elle assurera l'ouverture d'un pop-up store, pâtisserie-boudoir éphémère chez L'Éclaireur à Paris. Elle veut aussi oeuvrer pour les autres, les orphelins et les animaux. Émue, elle explique qu'elle aimerait ouvrir des institutions pour accueillir les défavorisés et permettre aux enfants de réaliser leur rêve. Le sien, Zahia est en train de le vivre. La jeune femme sera au programme de 7 à 8 sur TF1 le dimanche 16 juin, faisant l'objet du portrait de la semaine par Thierry Demaizière.
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Paris Match du 13 juin