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Ambiance glaciale et torturée dans le film Carré blanc de Jean-Baptiste Leonetti, avec Sami Bouajila dans le premier rôle. L'acteur a quitté les habits sobres d'Omar Raddad pour mettre ceux de Philippe, un cadre froid et implacable. Face à lui, se tient Julie Gayet, tourmentée et au bord du gouffre. La bande-annonce de Carré blanc installe d'ailleurs rapidement le malaise.
Carré blanc se déroule dans un monde déshumanisé, où Philippe et Marie, deux orphelins, grandissent ensemble. Vingt ans plus tard, ils sont mariés. Philippe est un cadre froid et implacable. Marie assiste impuissante à ce qu'ils sont devenus l'un pour l'autre : des étrangers. Leur destin bascule lorsque Marie décide de braver le système pour préserver ce qu'il reste de leur amour.
Avec une mise en scène d'une froideur nauséeuse, ce long métrage montre jusqu'à quel point l'homme est prêt à aller pour se battre contre le système établi. Le résultat promet d'être dérangeant, et Sami Bouajila confirme son goût pour les personnages audacieux. Jouant un serial killer il y a peu de temps pour la série télévisée Signature, le comédien français ne se laisse jamais déborder par les personnages qu'il incarne, aussi intenses soient-ils : "J'entretiens une vraie schizophrénie," a-t-il déclaré dans Têtu. Il vit ainsi sereinement dans un hameau loin de Paris.
Carré blanc sera dans les salles dès le 7 septembre.
Carré blanc se déroule dans un monde déshumanisé, où Philippe et Marie, deux orphelins, grandissent ensemble. Vingt ans plus tard, ils sont mariés. Philippe est un cadre froid et implacable. Marie assiste impuissante à ce qu'ils sont devenus l'un pour l'autre : des étrangers. Leur destin bascule lorsque Marie décide de braver le système pour préserver ce qu'il reste de leur amour.
Avec une mise en scène d'une froideur nauséeuse, ce long métrage montre jusqu'à quel point l'homme est prêt à aller pour se battre contre le système établi. Le résultat promet d'être dérangeant, et Sami Bouajila confirme son goût pour les personnages audacieux. Jouant un serial killer il y a peu de temps pour la série télévisée Signature, le comédien français ne se laisse jamais déborder par les personnages qu'il incarne, aussi intenses soient-ils : "J'entretiens une vraie schizophrénie," a-t-il déclaré dans Têtu. Il vit ainsi sereinement dans un hameau loin de Paris.
Carré blanc sera dans les salles dès le 7 septembre.