Alors qu'elle s'apprête à fêter ses 90 ans, Geneviève de Fontenay a donné de ses nouvelles dans les pages du magazine Ici Paris. L'occasion de faire le point sur sa vie actuelle, elle qui a définitivement quitté le monde des concours de beauté. Douze ans après son départ de Miss France, au profit de Sylvie Tellier, elle n'a toujours pas digéré.
Après avoir refusé de prendre part l'an dernier au centenaire de Miss France - elle remet d'ailleurs en cause la date exacte -, qui a vu triompher Diane Leyre, Geneviève de Fontenay est toujours et encore en colère contre celle qui lui a piqué sa place : Sylvie Tellier. "Avec ce centenaire, Sylvie Tellier a volé les trois quarts de ma vie. En plus, la date n'est pas la bonne car le premier concours estampillé Miss France a eu lieu en 1928 ! De toute façon, Miss France, pour moi, c'est terminé. C'est comme si j'avais un mur en béton devant moi", dit-elle. Terminé, terminé... Geneviève de Fontenay ne rate pourtant pas une occasion de balancer une vacherie sur le concours - comme le fait de l'ouvrir aux personnes trans - ou les ex-Miss dès qu'elle le peut. Mareva Galanter ? "Insignifiante". Valérie Bègue ? "C'est moi qui aurait dû lui donner des claques !". Nathalie Marquay ? Son élection a été "truquée"...
D'ailleurs, désormais aussi fâchée avec Nathalie Marquay, Geneviève de Fontenay en rajoute une couche : "Je ne pardonnerai jamais les propos grossiers qu'elle a tenu à mon encontre chez Cyril Hanouna. Nathalie a été odieuse alors que je l'ai toujours soutenue (...) Je n'ai jamais eu de problèmes avec elle. Je reste très choquée par ses attaques. Je préfère l'oublier."
Aujourd'hui à la retraite, Geneviève de Fontenay n'a plus l'ambition de mettre son nez dans les concours de beauté et elle n'a pas même pas l'esprit de revanche puisque Sylvie Tellier est au coeur de rumeurs incessantes la disant sur la sellette. "Je ne suis pas inquiète pour Sylvie. Elle a des relations, elle fera autre chose", dit-elle. Et pas question d'envisager une minute de revenir récupérer sa place puisque l'avenir du concours ne va pas dans le sens qu'elle aimerait ; il se pourrait que le concours se décline en sorte de télé-réalité avec un suivi des aspirantes Miss : "Ca ne rime à rien de tout bouleverser comme ça et je ne donne pas cher de l'avenir."
Ici Paris, édition du 24 août 2022.