Amber Heard – "J'ai entendu son cri" : Une proche amie, témoin en colère, parle

Ce 6 juin, TMZ révélait que deux des portiers travaillant dans l'immeuble où vivaient Johnny Depp et Amber Heard affirmaient n'avoir jamais vu de bleus sur le visage de la jeune femme. Un élément de plus qui va à l'encontre des affirmations de la jeune comédienne, laquelle clame que son mari a été violent avec elle, physiquement et psychologiquement, et ce à plusieurs reprises. L'article de TMZ a également fait sortir de ses gonds iO Tillett Wright, une amie très proche d'Amber Heard. Son nom n'est pas inconnu de ceux qui suivent de près le couple Heard-Depp. En avril 2015, la presse people révélait la proximité entre la jeune comédienne originaire du Texas et la photographe déjantée avec qui elle passerait trop de temps au goût de Johnny Depp – qui "n'aime pas iO", avait alors précisé un proche. L'artiste, qui se décrit elle-même comme une "agitatrice" et que l'on pensait proche du couple (elle a shooté Lily-Rose Depp dans une campagne sur la bisexualité), a-t-elle été au coeur d'une des disputes violentes entre Amber et son mari de 52 ans ?

Putain, j'étais au téléphone avec elle lorsqu'il l'a frappée. J'AI ENTENDU SON CRI.

Toujours est-il que le fameux soir du 21 mai, où Amber Heard dit avoir reçu un iPhone au visage, iO Tillet Wright a vécu ce moment au plus près... puisqu'elle était alors au téléphone avec son amie de 30 ans. À la suite de la publication de l'article de TMZ, celle qui jusqu'ici se faisait étonnamment très discrète a fini par apporter publiquement son soutien à Amber Heard sur Twitter. "FOUTAISE. J'en ai plus qu'assez. J'ai vu les hématomes. Plusieurs fois. Et la lèvre gonflée. Et la coupure sur la tête", écrit-elle en accompagnant ce premier post de smileys rouges de colère. Ulcérée, elle poursuit : "Combien de preuves une femme devra-t-elle fournir ? Elle a des photos, des messages, des témoignages et elle a obtenu une ordonnance restrictive. Mais non, un voisin demande à un concierge et parle à TMZ, et ÇA, ça fait les gros titres et sert de 'preuves' ?! Cher voisin, HONTE À TOI."

iO (qu'il faut prononcer eye-oh) ne s'arrête pas là. "Cette manie de blâmer la victime me rend malade. Je suis un témoin. Je suis là. Je me tiens debout. Je n'en peux plus de cette chasse aux sorcières, écrit-elle, très cash. Putain, j'étais au téléphone avec elle lorsqu'il l'a frappée. J'AI ENTENDU SON CRI. Je témoignerai. Ici et devant la cour. Sous serment."

Voici un soutien qui va faire du bien à Amber Heard, dont la contre-attaque la semaine dernière a été totalement ignorée par le clan de Johnny Depp. En effet, l'acteur hollywoodien poursuit sa tournée en Europe avec The Hollywood Vampires. Et plutôt de répondre aux accusations de sa femme – le communiqué incisif de son avocate, les SMS accablants, les nouvelles photos... - le rockeur négligé pose avec des bombes après ses concerts ou alors croque son assistante sur Instagram.

Nul doute que Johnny Depp devra très vite répondre de ses actes, s'ils avèrent vrais. Alors qu'il est attendu d'ici fin juin à une audience concernant l'ordonnance restrictive, l'interprète de Jack Sparrow et du Chapelier Fou a probablement pris connaissance du dernier rebondissement concernant l'affaire des SMS. Entertainement Tonight avait révélé plusieurs échanges entre Amber Heard et Stephen Deuters, un assistant de Johnny Depp. Sur TMZ, il avait clamé que ces textos est trafiqués. Aujourd'hui, People assure le contraire, citant un spécialiste en analyse informatique, Kevin Cohen, à qui l'on a "demandé d'examiner les sauvegardes de l'iPhone d'Amber Heard". Précisant que la jeune femme "avait pris l'habitude de synchroniser son iPhone avec son ordinateur", l'homme assure ensuite qu'"après avoir examiné le dossier contenant les sauvegardes de liPhone de Madame Heard, les susdites sauvegardes étaient authentiques". People va même plus loin en assurant que dans les échanges entre Heard et Deuters, ils ont évoqué la possibilité de faire soigner Johnny Depp à Boston, où il tournait Strictly Criminal. Mais le site américain n'a pas fourni plus de preuves en ce sens.