Cela va faire près de trois mois qu'Ayem Nour est bloquée au Maroc, car elle est dans l'impossibilité de faire revenir son fils Ayvin (6 ans) en France. Son ex Vincent Miclet, qui est le papa de l'enfant, détient en effet son passeport. Une guerre judiciaire fait donc rage entre les anciens tourtereaux. Si elle était assez discrète concernant cette affaire ces derniers temps, elle a souhaité prendre la parole au cours d'un live Instagram, le 25 janvier 2023 afin de donner de ses nouvelles.
La vidéo s'ouvre sur des remerciements pour les personnes qui la soutiennent depuis le début. Elle a assuré que malgré tout, Ayvin allait bien et que sa priorité, c'était d'être avec lui. Elle aurait tenté de trouver un terrain d'entente avec Vincent Miclet, sans succès. "Je ne vous cache pas que le moral n'est pas au beau fixe. J'essaie tant bien que mal de me battre", a-t-elle avoué. Ayem Nour a ensuite expliqué qu'elle avait pris une professeure à domicile pour que son fils continue sa scolarité le plus normalement possible.
Puis, elle a révélé que le 23 janvier, Vincent Miclet, son fils et elle ont été convoqués par le juge des enfants, en France. Mais la partie adverse aurait repoussé la date et elle a finalement été fixée au 14 février. "Mais comment y aller sans laisser-passer car aujourd'hui, on ne me l'accorde toujours pas pour mon fils ?", s'est elle-interrogée. Autre souci le 13 février, cela fera déjà trois mois qu'elle est au Maroc pour rester auprès d'Ayvin. "Et je ne sais pas si vous le savez, mais on ne peut pas rester plus de trois mois dans un pays qui n'est pas le notre. Donc le 14 février, je serai en situation irrégulière ici. J'ai très peur qu'on puisse me dire de ne pas rester ici. Sachant qu'on ne m'accorde pas de laisser-passer pour mon fils (...) Le père fait tout pour m'étouffer, à tous les niveaux. Financièrement ou autre. Il ne subvient même pas aux besoins de son enfant", a-t-elle poursuivi, très émue.
Ayem Nour espère que d'ici-là, elle pourra trouver une solution pour pouvoir aller en France avec son fils pour la convocation. Désemparée, elle se demande si elle doit faire une grève de la faim ou faire un déballage médiatique "pour sauver et préserver" son fils de toute cette situation. Elle ne cache pas avoir perdu le goût de la vie. Quoi qu'il arrive, elle ne compte pas partir sans lui.
Affaire à suivre donc.