Rester soigneusement en retrait ne la rend pas moins magnétique pour autant : tendre le matin, éblouissante le soir, Beatrice Borromeo a imposé son charisme lors des célébrations de la Fête nationale monégasque, le 19 novembre 2018.
Si ce sont surtout ses enfants, Stefano, 1 an et demi, et Francesco, né le 21 mai dernier, ainsi que leur cousin Maximilian (7 mois) qui ont tenu la vedette avec leur heureuse grand-mère Caroline de Hanovre en ce jour spécial sur le Rocher, lors de l'apparition de la famille princière au balcon du palais, l'épouse de Pierre Casiraghi a ensuite parachevé le spectacle de manière éclatante : dans le sillage du prince Albert II, de la princesse Charlene et de la princesse Caroline, la journaliste italienne de 33 ans illuminait le Grimaldi Forum, où s'achevaient les festivités au son de l'opéra Samson et Dalila. Son beau-frère Andrea Casiraghi, père de trois enfants avec sa femme Tatiana Santo Domingo, lui tenait lieu de cavalier, leurs conjoints respectifs assumant de toute évidence la mission de baby-sitting.
Somptueuse dans une robe bustier dorée rebrodée de verreries (au niveau du col bateau et des manches) soulignant sa silhouette impeccablement retrouvée, six mois après la naissance de Francesco, Beatrice, qui avait tous les atouts pour être mannequin mais a préféré la voie courageuse de l'investigation, était à vrai dire tellement remarquable... que cela a mis la puce à l'oreille du magazine Hola! : l'hebdomadaire espagnol s'est aperçu que la belle jeune femme avait déjà porté la même tenue par le passé, en 2014, avant ses deux grossesses. Il fallait être particulièrement perspicace pour reconnaître la robe Giorgio Armani que l'Italienne portait le 2 février 2014 pour le mariage neigeux d'Andrea Casiraghi et Tatiana Santo Domingo, car elle était ce jour-là couverte par un long manteau, dans le froid de Gstaad, en Suisse.
À l'époque, seuls les croquis dévoilés par la maison de couture transalpine avaient permis de se faire une idée de cette réalisation du maître italien portée par sa compatriote, mais la météo d'une part, qui imposait le port du manteau à l'extérieur, et l'absence de photographies de l'événement abrité par l'hôtel Palace d'autre part, avaient empêché qu'on la voie. Pas loin de cinq ans plus tard, la lumière est faite. Et quelle lumière !