Des trois enfants de Brigitte Macron, nés de son premier mariage avec le banquier André-Louis Auzière, sa benjamine Tiphaine Auzière est certainement la plus impliquée dans la politique, affrontant sans souci les projecteurs. L'avocate de 38 ans a fait une belle apparition lors de l'investiture de son beau-père Emmanuel Macron comme président de la République réélu ce samedi 7 mai 2022. Arrivée au bras de son compagnon Antoine Choteau et de leurs deux enfants, elle a dévoilé un nouveau look capillaire très glamour (voir le diaporama).
Tiphaine Auzière a choisi de coiffer sa chevelure blonde habituelle lisse sur le côté avec des boucles sophistiquées qui lui donnait des airs de sirène hollywoodienne. A ses côtés durant le grand jour d'Emmanuel Macron, se trouvaient bien évidement son compagnon gastro-entérologue, observateur passionné de la politique, et leurs charmants enfants, Aurèle et Elise. Cette dernière s'était montrée plus que craquante lors du grand-meeting du chef d'Etat à La Défense Aréna, brandissant la pancarte "Daddy président".
Dès 2016, la belle-fille d'Emmanuel Macron avait été entraînée par la ferveur de la politique. D'abord en le soutenant pour les présidentielles de 2017, puis en se présentant comme suppléante d'un candidat LREM aux législatives de 2017, Thibaut Guilluy. Cependant, le tandem n'a pas remporté les élections et sa mère Brigitte Macron n'aura de cesse de dissuader sa fille de faire de la politique, a rappelé le magazine Gala, face aux "turbulences du quinquennat, notamment l'épisode des Gilets jaunes, et leur lot de menaces sur le clan Macron".
Durant son discours d'investiture, Emmanuel Macron a fait "le serment de léguer une planète plus vivable" et "une France vivante et plus forte". Le chef de l'Etat a aussi appelé à "agir sans relâche" pour que la France devienne "une nation plus indépendante" et pour "construire nos réponses française et européenne aux défis de notre siècle". "Le temps qui s'ouvre sera celui d'une action résolue pour la France et pour l'Europe", a-t-il lancé dans une allocution d'une dizaine de minutes devant 450 invités, dont ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy et François Hollande.