Joyeux anniversaire à Frédéric Beigbeder ! Ce jeudi 21 septembre 2023, l'auteur, chroniqueur et scénariste (entre autres) souffle sa 58e bougie. Une journée spéciale durant laquelle, on en est sûr, ses proches auront de tendres pensées pour lui, à commencer par ses filles Chloé et Oona, sa compagne Lara Micheli qui lui a donné deux jeunes enfants mais aussi ses nombreux amis, du monde de la nuit mais pas que.
L'occasion également de revenir sur un évènement traumatisant auquel celui qui a définitivement quitté Paris avait malgré lui pris part dans un établissement de luxe. Nos confrères de Gala le racontaient au mois d'avril dernier dans leurs pages. On pouvait lire : "'J'ai toujours mis un point d'honneur à vouloir rédiger quelques pages chaque jour', assure-t-il. Un électrochoc l'a conforté dans cette volonté : la fusillade au Ritz en 2018 à laquelle il a échappé. Des hommes cagoulés en avaient après les bijoux exposés. L'épisode l'a longtemps privé de sommeil. 'J'ai déclenché peu après un diabète. Il paraît que cela peut arriver après un choc', raconte-t-il."
On vous explique que votre espérance de vie, c'est onze ans de moins que prévu
Des propos qu'il avait complétés quelques jours plus tard sur le plateau de C à vous sur France 5, en pleine promo de son livre Confessions d'un hétéro légèrement dépassé paru chez Albin Michel : "Il paraît que quelquefois on peut déclencher un diabète pré-existant, après un stress. Moi j'ai été pris dans une attaque à mains armées..." Et d'ajouter : "J'ai appris que j'étais diabétique... On vous explique que votre espérance de vie, c'est onze ans de moins que prévu."
C'est en janvier 2018 que les faits étaient survenus dans le palace du 1er arrondissement de Paris. "Sur le coup, personne n'a vraiment compris ce qui se passait lorsque, juste après, trois types cagoulés ont fait à leur tour irruption dans le bar. Ils ont juste dit: 'Barrez-vous, on ne va pas vous faire de mal.' Ces quelques mots, qui se voulaient j'imagine rassurants, ont déclenché un vent de panique. J'ai cru voir que les types étaient armés de longs objets noirs, comme des fusils", avait-il raconté au Figaro, reconnaissant qu'il "imaginait qu'ils allaient tous y passer". Le butin ce jour-là sera de 4 millions d'euros pour les braqueurs.