Jean-Marie Bigard a assuré le 4 mars 2019 qu'il avait été "viré comme une merde" de sa tournée d'été avec Var-Matin après sa blague polémique sur le viol prononcée dans Touche pas à mon poste (C8) le 11 février dernier.
Jean-Marc Pastorino, le PDG du groupe Nice-Matin qui avait été personnellement mis en cause par l'humoriste de 64 ans – et même insulté par ce dernier –, a tenu à livrer sa version des faits. On pouvait ainsi lire ce mardi sur le site de Nice-Matin : "Jean-Marie Bigard a effectivement été approché, comme beaucoup d'autres artistes, dans le cadre de notre tournée estivale organisée dans les villages des Alpes-Maritimes et du Var. Aucun contrat, ni promesse n'ont été signés avec Jean-Marie Bigard. Seulement des discussions ont eu lieu. Le nom de l'artiste qui sera la tête d'affiche de ce spectacle gratuit et familial sera dévoilé très prochainement."
Pour rappel, sur ses réseaux sociaux, le compagnon de Lola Marois n'avait pas caché sa tristesse. "Bonjour les amis, je reste assis car je suis détruit (...) Je devais faire la tournée Var-Matin cet été, 49 dates, c'était tout mon été de travail et je viens d'apprendre il y a 45 minutes là que j'étais viré. Je suis viré par Jean-Marc Pastorino, qui est le PDG de Var-Matin, il a dit 'Non, on ne peut pas prendre un gars qui raconte sur C8 la blague de la déchirure'. Vous m'avez bien entendu ? C'est la réalité, je suis viré (...) Il me jette comme une merde pour une blague que je raconte à la télé et à la radio depuis 30 ans", avait-il lâché.
En février dernier, face au tollé provoqué par la blague de l'humoriste, C8 avait décidé de couper la scène des rediffusions et des replays de Touche pas à mon poste et le CSA avait recueilli plus de 200 signalements 24 heures après la diffusion.