Laurence Boccolini a décidé de terminer l'année 2021 avec des révélations et une grande première. Tout d'abord, elle a fait savoir lors d'une interview accordée à Télé 7 Jours, qu'elle était divorcée de Mickaël Fakaïlo, père de sa fille Willow (8 ans). En couverture du magazine, elle avait aussi choisi de prendre la pose pour la première fois avec son enfant (évidemment, on ne la voit pas vraiment). Encline à en dire plus sur sa vie privée, elle a aussi révélé pourquoi elle ne voulait pas que Willow porte son nom.
"Elle ne s'appelle pas Boccolini, et pour moi, c'est très important. Son histoire ne m'appartient pas, je ne veux pas qu'elle me reproche, un jour, de l'avoir trop exposée. Quand je lui explique que certains pourraient l'embêter parce qu'elle est ma fille, elle ne comprend pas toujours. Quand elle était petite, elle avait peur des gens qui venaient me voir, me faisaient des accolades ou m'embrassaient. Cela la mettait très mal à l'aise. Et ça, je ne veux pas qu'elle le vive mal, car elle n'a pas choisi d'avoir une maman médiatisée", explique celle qui officie à présent sur France 2.
Si Willow a été déstabilisée en voyant la notoriété de sa mère dans la rue, elle se fiche beaucoup plus du fait que ses camarades puissent voir sa maman à la télévision. Comme le confie Laurence Boccolini, la seule fois où sa fille a été fière d'elle à la télé c'est lorsqu'elle a gagné Mask Singer en 2019 (elle incarnait la Licorne).
"Quand ses copains viennent à la maison, certains me disent : 'Je t'ai vue à la télé !' Elle, ça ne lui fait ni chaud au froid", confirme-t-elle. Et l'animatrice espère fort que sa fille ne choisira pas le même métier qu'elle. Elle explique : "Cela m'embêterait. Ce milieu n'est pas tendre, je n'ai pas envie qu'elle vive ce que j'ai vécu. Si elle veut être boulangère ou fraiseuse-zingueuse, j'en serai ravie tout autant. L'essentiel est qu'elle soit heureuse." Seul l'avenir nous dira ce que Willow a choisi.
Mère célibataire et travaillant beaucoup, Laurence Boccolini a appris à faire face aux imprévus. "Comme toutes les femmes qui sont dans mon cas, il y a quelques contraintes. Comme quand, en plein tournage, la baby-sitter m'annonce qu'elle est coincée dans le métro ! C'est une angoisse permanente, une charge mentale énorme, mais c'est un choix qui a aussi de super côtés, car ma fille est heureuse et équilibrée", raconte-t-elle.