Leonardo DiCaprio en couverture du magazine Psychologies - édition avril 2013
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Leonardo DiCaprio veut faire une pause. L'acteur américain de 38 ans veut prendre du temps pour se poser, réfléchir, après avoir enchaîné des tournages intenses, ceux de Django Unchained, Gatsby le Magnifique et The Wolf of Wall Street. Des productions qui lui permettent de montrer une nouvelle fois l'étendue de son talent, puisqu'il est capable de jouer un horrible bonhomme pour Tarantino, un millionnaire charmant au passé trouble ou un courtier en Bourse sous la direction de Scorsese. La star veut s'éloigner des projecteurs, mais les salles de cinéma combleront son absence. Il a néanmoins accepté de se dévoiler et ses confidences sont reprises dans les pages de Psychologies magazine, revue connue pour mettre sur le divan les vedettes.
Pas besoin de revenir sur l'impressionnante carrière de Leonardo DiCaprio. Proche des 40 ans, il n'a plus rien à prouver. Sa carrière a démarré très tôt, jouer devant une caméra lui permettant de se sentir mieux qu'à l'école, où il explique s'être comporté comme un petit monstre. Un enfant plein d'énergie mais à qui ses parents n'ont jamais rien imposé. Dans l'entretien, il les salue, "de véritables pacifistes", des "hippies" divorcés quand il a 1 an, certes, mais qui lui ont donné l'impression de vivre dans une famille soudée. Aujourd'hui, il continue de clamer que ses parents sont les personnes les plus intelligents au monde : "Je n'accepte jamais un rôle sans l'avis de mon père." De son enfance, il retiendra aussi son quartier où, quand il allait à l'école, il enjambait "les seringues, les drogués, les clochards..." La révolte et la destruction étant partout, il n'avait pas besoin d'expérimenter des choses extrêmes pour les vivre.
S'il n'a pas été un adolescent en conflit avec ses parents, il s'est rebellé contre la nouvelle vie qu'Hollywood a voulu lui imposer après les cartons de Roméo+Juliette et surtout de Titanic : "J'avais l'impression d'entrer dans un monde nouveau où l'on allait littéralement me dévorer." Ecoutant les conseils de sa chère grand-mère - "elle avait fui l'Allemagne nazie, elle avait un fort instinct de survie" -, il choisira scrupuleusement ses rôles et mènera sa carrière là où elle est aujourd'hui. Il tentera de se tenir éloigner des tabloïds aussi, même si cela est vain, parce qu'il veut que les gens voient "ses héros derrière lui, et pas lui derrière ses héros".
Et Leonardo DiCaprio et les femmes ? On l'a vu aux côtés des plus belles, Gisele Bündchen, Bar Refaeli, Erin Heatherton, et la liste n'est pas terminée. Mais les deux femmes qu'il n'a jamais quittées, ce sont sa mère et sa grand-mère. La mort de cette dernière en 2008 lui a montré "l'impermanence des choses et l'importance d'appartenir à une famille, de trouver du sens ailleurs que dans le travail". C'est ainsi qu'il dira : "J'adorerais fonder une famille, en espérant être un bon père. [...] Fonder une famille est une chose à laquelle je pense de plus en plus." En attendant un heureux événement, on espère admirer le charmant comédien sur les marches du Festival de Cannes, puisque le Gatsby de Baz Luhrmann en fera l'ouverture.
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Psychologies magazine du mois d'avril
Pas besoin de revenir sur l'impressionnante carrière de Leonardo DiCaprio. Proche des 40 ans, il n'a plus rien à prouver. Sa carrière a démarré très tôt, jouer devant une caméra lui permettant de se sentir mieux qu'à l'école, où il explique s'être comporté comme un petit monstre. Un enfant plein d'énergie mais à qui ses parents n'ont jamais rien imposé. Dans l'entretien, il les salue, "de véritables pacifistes", des "hippies" divorcés quand il a 1 an, certes, mais qui lui ont donné l'impression de vivre dans une famille soudée. Aujourd'hui, il continue de clamer que ses parents sont les personnes les plus intelligents au monde : "Je n'accepte jamais un rôle sans l'avis de mon père." De son enfance, il retiendra aussi son quartier où, quand il allait à l'école, il enjambait "les seringues, les drogués, les clochards..." La révolte et la destruction étant partout, il n'avait pas besoin d'expérimenter des choses extrêmes pour les vivre.
S'il n'a pas été un adolescent en conflit avec ses parents, il s'est rebellé contre la nouvelle vie qu'Hollywood a voulu lui imposer après les cartons de Roméo+Juliette et surtout de Titanic : "J'avais l'impression d'entrer dans un monde nouveau où l'on allait littéralement me dévorer." Ecoutant les conseils de sa chère grand-mère - "elle avait fui l'Allemagne nazie, elle avait un fort instinct de survie" -, il choisira scrupuleusement ses rôles et mènera sa carrière là où elle est aujourd'hui. Il tentera de se tenir éloigner des tabloïds aussi, même si cela est vain, parce qu'il veut que les gens voient "ses héros derrière lui, et pas lui derrière ses héros".
Et Leonardo DiCaprio et les femmes ? On l'a vu aux côtés des plus belles, Gisele Bündchen, Bar Refaeli, Erin Heatherton, et la liste n'est pas terminée. Mais les deux femmes qu'il n'a jamais quittées, ce sont sa mère et sa grand-mère. La mort de cette dernière en 2008 lui a montré "l'impermanence des choses et l'importance d'appartenir à une famille, de trouver du sens ailleurs que dans le travail". C'est ainsi qu'il dira : "J'adorerais fonder une famille, en espérant être un bon père. [...] Fonder une famille est une chose à laquelle je pense de plus en plus." En attendant un heureux événement, on espère admirer le charmant comédien sur les marches du Festival de Cannes, puisque le Gatsby de Baz Luhrmann en fera l'ouverture.
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Psychologies magazine du mois d'avril