Louise Bourgoin en couverture de ELLE
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En choisissant Louise Bourgoin pour incarner Adèle Blanc-Sec, Luc Besson offre un rôle de femme aussi belle que déterminée à ce très joli brin de fille. Héroïne intrépide, elle est de tous les plans dans cette adaptation de la bande-dessinée de Tardi. Le magazine Elle a choisi de lui offrir sa couverture, de la photographier dans la peau des personnages cultes de Besson et de recueillir ses confidences. Extraits.
Pour le shooting photo, Louise Bourgoin, qui avait posé sans artifices pour Marie-Claire, mise sur un maquillage, le stylisme et la mise en scène pour incarner Anne Parillaud dans Nikita, Milla Jovovich dans Le Cinquième Elément et dans Jeanne d'Arc et en Isabelle Adjani dans Subway. Les transformations sont particulièrement réussies et confirment le physique "pâte-à-modeler" de la jeune femme. Incarner Adèle, adepte du déguisement, était donc une évidence pour cette ancienne miss Météo du Grand Journal qui se grimait en différents personnages tous les soirs, avec beaucoup de perfectionnisme.
Pour chacune de ces héroïnes, Louise précise un petit commentaire : Leeloo, le nom de Milla dans Le Cinquième Elément, était son mot de passe internet et Isabelle Adjani est son actrice préférée car elle peut tout incarner. Que représente Jeanne la pucelle pour elle ? "Si j'étais Jeanne d'Arc, j'aurais été brûlée vive, comme dit Ségolène Royal."
Après Canal+, La Fille de Monaco, Blanc comme Neige, Adèle et avant de plonger dans L'Autre Monde de Gilles Marchand (Qui a tué Bambi ?), Louise Bourgoin est devenue une valeur du cinéma. Pour en arriver là, il lui aura fallu un seul et unique CV : "J'ai envoyé une candidature qui a fait rire tout le monde [...] et j'ai été prise à un casting pour Filles TV."
Pourtant, si on la reconnaissait quand elle faisait la pluie et le beau temps, maintenant, les choses ont changé : "Déjà, dans la rue, personne ne me reconnaît. [...] Quant à Beigbeder [qui la cite comme femme idéale pour 2010], il a 365 femmes idéales par an, alors..."
Ce n'est donc pas ce genre de commentaires qui la font vibrer, ce qui ne l'empêche pas d'être très émotive : "Petite, quand mon cousin me volait un jouet, je m'évanouissais de rage. Je tombais souvent sur la tête, j'ai six points de suture sur le front." Une émotion qui se marie avec le romantisme, elle qui se verrait bien en Princesse de Clèves. En matière de séduction, elle est plutôt femme-enfant : "Les hommes le sentent. Ils sont protecteurs et paternels avec moi. J'avais déjà dit ça dans un magazine, Michel Denisot l'a lu et m'a envoyé un texto signé 'Papa Michel', ça m'a fait rire."
Néanmoins, quand on lui parle de Julien Doré avec qui elle a vécu une idylle, sans s'énerver, elle détourne l'attention : "C'était il y a un an et demi. Vous avez vu le film de Pascal Thomas [Ensemble, nous allons vivre une très très grande histoire d'amour] ? Il paraît qu'il est très bien dedans." Et quand on lui demande pourquoi elle a rompu, elle déclare : "A la fin d'Adèle Blanc-Sec, au beau milieu d'une scène, je m'arrête dans mon jeu et j'explique toutes les raisons de notre rupture. Il faut aller voir le film."
Et pour retrouvez l'interview dans son intégralité et les photographies de Louise, il faut lire le magazine Elle du 2 avril 2010.
Pour le shooting photo, Louise Bourgoin, qui avait posé sans artifices pour Marie-Claire, mise sur un maquillage, le stylisme et la mise en scène pour incarner Anne Parillaud dans Nikita, Milla Jovovich dans Le Cinquième Elément et dans Jeanne d'Arc et en Isabelle Adjani dans Subway. Les transformations sont particulièrement réussies et confirment le physique "pâte-à-modeler" de la jeune femme. Incarner Adèle, adepte du déguisement, était donc une évidence pour cette ancienne miss Météo du Grand Journal qui se grimait en différents personnages tous les soirs, avec beaucoup de perfectionnisme.
Pour chacune de ces héroïnes, Louise précise un petit commentaire : Leeloo, le nom de Milla dans Le Cinquième Elément, était son mot de passe internet et Isabelle Adjani est son actrice préférée car elle peut tout incarner. Que représente Jeanne la pucelle pour elle ? "Si j'étais Jeanne d'Arc, j'aurais été brûlée vive, comme dit Ségolène Royal."
Après Canal+, La Fille de Monaco, Blanc comme Neige, Adèle et avant de plonger dans L'Autre Monde de Gilles Marchand (Qui a tué Bambi ?), Louise Bourgoin est devenue une valeur du cinéma. Pour en arriver là, il lui aura fallu un seul et unique CV : "J'ai envoyé une candidature qui a fait rire tout le monde [...] et j'ai été prise à un casting pour Filles TV."
Pourtant, si on la reconnaissait quand elle faisait la pluie et le beau temps, maintenant, les choses ont changé : "Déjà, dans la rue, personne ne me reconnaît. [...] Quant à Beigbeder [qui la cite comme femme idéale pour 2010], il a 365 femmes idéales par an, alors..."
Ce n'est donc pas ce genre de commentaires qui la font vibrer, ce qui ne l'empêche pas d'être très émotive : "Petite, quand mon cousin me volait un jouet, je m'évanouissais de rage. Je tombais souvent sur la tête, j'ai six points de suture sur le front." Une émotion qui se marie avec le romantisme, elle qui se verrait bien en Princesse de Clèves. En matière de séduction, elle est plutôt femme-enfant : "Les hommes le sentent. Ils sont protecteurs et paternels avec moi. J'avais déjà dit ça dans un magazine, Michel Denisot l'a lu et m'a envoyé un texto signé 'Papa Michel', ça m'a fait rire."
Néanmoins, quand on lui parle de Julien Doré avec qui elle a vécu une idylle, sans s'énerver, elle détourne l'attention : "C'était il y a un an et demi. Vous avez vu le film de Pascal Thomas [Ensemble, nous allons vivre une très très grande histoire d'amour] ? Il paraît qu'il est très bien dedans." Et quand on lui demande pourquoi elle a rompu, elle déclare : "A la fin d'Adèle Blanc-Sec, au beau milieu d'une scène, je m'arrête dans mon jeu et j'explique toutes les raisons de notre rupture. Il faut aller voir le film."
Et pour retrouvez l'interview dans son intégralité et les photographies de Louise, il faut lire le magazine Elle du 2 avril 2010.