
Des confidences choc qui secouent à ce jour la presse hexagonale... Ce lundi 10 mars 2025 après avoir été élevée au rang de chevalier des Arts et des Lettres par Rachida Dati, la ministre de la Culture, Mathilde Seigner a été publiquement accusée par sa soeur cadette Marie-Amélie de violences physiques et psychologiques. Voulant se faire entendre, l'artiste s'était directement adressée à la politicienne. "Madame, vous décorez des individus en méconnaissance de leur véritable nature", a écrit sur Instagram la chanteuse et compositrice. "Certes, ce sont des artistes, mais sachez que ces mêmes personnes ont fait subir à autrui des violences physiques et psychologiques d’une gravité extrême".
Dénonçant la distinction de la comédienne en reconnaissance de sa carrière, Marie-Amélie Seigner a souhaité rappeler qu'"une grande partie des violences physiques, en particulier les violences, se produisent au sein du cercle familial. Il n’y a pas que les hommes qui violentent les femmes. Certaines femmes commettent des violences physiques ou psychologiques sur des membres de la famille". Beaucoup moins médiatisée que ses soeurs aînées Emmanuelle (1966) et Mathilde (1968), qui s'illustrent à ce jour dans l'industrie du 7ème art, Marie-Amélie Seigner s'est toutefois démarquée dans la musique. Elle a sorti plusieurs albums en plus de figurer dans quelques films notamment dans La Vie moderne (2000) et Emmenez-moi (2011).

A rappeler que les trois femmes ont toujours évolué dans l'univers du spectacle... Et pour cause, leur grand-père n'était autre que Louis Seigner, monstre sacré du cinéma français disparu en 1991 et qui a joué dans une centaine de films. Il y a dix ans dans l’émission Le divan, de Marc-Olivier Fogiel, Mathilde Seigner avec accepté de se mettre à nu. L'occasion pour elle se plonger dans ses souvenirs d'enfance tout en se livrant sur sa soeur aînée qui évolue dans le même milieu qu'elle. "Est-ce que d'une certaine manière, vous vous êtes construite en opposition... A l'inverse d'elle ?" s'est interrogé l'époux de François Roelants. Ce à quoi son invitée de marque a répondu par la négative : "Du tout !".
"J'ai sûrement souffert de sa beauté"
Depuis leur plus jeune âge, la compagne de Mathieu Petit n'a cessé d'être comparée à elle, à son grand désarroi : "J'ai souffert de certaines choses probablement (...). Surement de son physique. Elle était belle, tout le temps belle, belle, belle. Et je devais souffrir de ça, mais aujourd'hui, je m'en fous complètement (...). Je ne me trouve pas plus belle pour autant mais j'en ai rien à faire. Mais j'ai sûrement souffert de sa beauté, parce que c'est difficile". Face caméra, la maman de Louis a aussi admis qu'elles étaient totalement "opposées" dans la vie.

"Moi j'ai des goûts français, je n'aime que la chanson française. Je ne suis pas du tout branchée (...)", a ajouté l'ex-compagne d'Antoine Duléry avant d'expliquer qu'elle n'avait jamais su inverser la dynamique : "J'aurais eu confiance en moi, j'aurais pu mieux m'habiller et en fin de compte j'aurais eu une autre image. Je me suis pas mal dégradée... Peut-être pour ne pas prendre sa place. À ses yeux, et à l'inverse de celle avec qui elle a partagé la scène dans la pièce Bungalow21, Mathilde Seigner n'avait pas la "place de la belle".
"Je ne sais pas quelle place j'ai prise... La grande gueule ?!", a t-elle ajouté avec humour. Toutefois à l'époque, la belle-soeur de Roman Polanski assurait que leurs "rapports étaient harmonieux": "On se voit chaque année à Noël, mais on ne se voit pas beaucoup dans l'année parce qu'on travaille beaucoup, mais on s'appelle beaucoup maintenant. On est très proches maintenant". Une belle complicité s'était manifestement tissée depuis qu'elles étaient devenues mamans...
Mathilde Seigner reste présumée innocente des faits qui lui sont reprochés jusqu'à la clôture de cette affaire