Voilà une anecdote qui ne risque pas de redorer l'image du prince Andrew, retiré de la vie publique depuis les nouvelles accusations d'agression sexuelle. Comme l'a rapporté une source du Sun le 1er mars 2020, le fils d'Elizabeth II n'aurait pas hésité à laisser une de ses anciennes conquêtes s'asseoir sur le trône de sa mère la reine. La femme en question n'était autre que Caprice Bourret, ancien mannequin devenu une personnalité de télévision connue outre-Manche. Celle-ci aurait brièvement fréquenté le duc d'York en 2000, quatre ans après son divorce d'avec Sarah Ferguson.
"Il l'a emmenée deux fois au palais de Buckingham, et à une occasion elle s'est assise sur le trône de la reine (...). C'est une chose particulièrement étrange à faire, surtout que la reine aurait pu arriver à tout moment !" Outre cette offense à la monarque et au protocole, Caprice Bourret serait même repartie avec un souvenir du palais : "Elle a repéré un bol qu'elle aimait et a demandé à Andrew si elle pouvait le voler et l'envoyer à sa mère. Elle affirme qu'il l'a laissée faire, et sa mère a adoré !"
Bien qu'ils aient partagé quelques rendez-vous galants, l'ex-mannequin a rapidement mis un terme à cette idylle : "Il n'y avait aucune chance de baiser passionné - il ne lui plaisait pas (...). Caprice a soudainement ignoré Andrew. Elle a arrêté de répondre à ses appels. Il n'a été qu'un gentlemen, mais simplement, il ne lui plaisait pas et s'est enfuie quand un article de journal a fait le lien entre eux. Il n'était pas son genre (...). Mais en tant qu'Américaine, elle était profondément amusée du fait qu'il était membre de la famille royale. Puis tous les rendez-vous secrets, bien que dispensables, étaient un bon sujet de conversation pour les dîners de famille."
Le prince Andrew n'était pas le seul membre de la famille royale à craquer pour Caprice. Toujours selon le Sun, son neveu le prince Harry aurait lui-aussi eu un faible pour la top et comédienne lorsqu'il était adolescent, au point d'avoir "un calendrier d'elle sur le mur de sa chambre" à l'école privée d'Eton. Alors âgé de 16 ans, le jeune Harry aurait été jaloux en apprenant qui son oncle fréquentait.