Roselyne Bachelot, les cheveux en pétard, dans la série Nos chers voisins sur TF1.© Marlene Awaad / IP3 / Bureau 233
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Le grand public l'a découverte en tant que femme politique, puis plus décontractée - voire complètement déjantée - en chroniqueuse télé dans Le Grand 8 de Laurence Ferrari sur D8, voilà que Roselyne Bachelot, fraîchement épinglée des insignes de la Légion d'honneur, se lance dans l'écriture. Certes, sa place avait déjà été mise à profit mais jamais auparavant dans une biographie, en l'occurrence celle du compositeur Verdi, qui la passionne depuis toujours. Le mois dernier, elle publiait ainsi Verdi amoureux, chez Flammarion.
En effet, la musique classique a bercé son enfance marquée par une éducation "rigoureuse et sévère". Dans les colonnes du magazine Gala, Roselyne Bachelot se raconte. Une plongée dans ses jeunes années qu'elle conte avec nostalgie.
"J'étais au pensionnat de La Retraite du Sacré-Coeur, à Angers, dès 8 ans, se souvient-elle. Comme j'étais très très bonne élève, j'en profitais pour mettre un chahut pas possible. J'étais un vrai chef de gang !" L'ex-Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative a donc apparemment toujours eu l'âme d'une rebelle... "J'étais très indisciplinée, cela m'est resté en politique", analyse-t-elle très justement.
Anticonformiste au possible - elle est l'une des seules personnalités étiquetées UMP à s'être manifestée en faveur du mariage pour tous -, elle dérange aujourd'hui en libérant sa parole avec ses acolytes du Grand 8. Son goût pour l'image et son sens de la répartie ont même poussé TF1 à l'inviter à figurer en guest dans un prochain épisode de Nos chers voisins. Récemment tournée, la séquence sera diffusée à l'occasion du prime time spécial consacré à ce programme court, le 16 décembre prochain à 20h50 sur TF1.
Après avoir déjà mis ses talents de comédienne au service de la jolie chanteuse Joyce Jonathan en apparaissant dans son clip Ça ira, Roselyne Bachelot donnera la réplique à Gil Alma (Alain Stuck dans la série) ainsi qu'à Thierry Samitier (qui incarne Aymeric Dubernet-Carton). En robe de chambre et cigare au bec, l'ex-Ministre des deux gouvernements Fillon entre à merveille dans son personnage. Elle reconnaît malgré tout un rôle à contre-emploi : "Ça m'a bien plu ! Même si, dans le film, je fume le cigare alors que, depuis quarante ans, je mène une ardente campagne contre le tabac ! Alors j'espère que mon personnage n'incitera personne à fumer", reconnaît-elle dans le making-of. Mais c'est ça qui est drôle !
Joachim Ohnona
En effet, la musique classique a bercé son enfance marquée par une éducation "rigoureuse et sévère". Dans les colonnes du magazine Gala, Roselyne Bachelot se raconte. Une plongée dans ses jeunes années qu'elle conte avec nostalgie.
"J'étais au pensionnat de La Retraite du Sacré-Coeur, à Angers, dès 8 ans, se souvient-elle. Comme j'étais très très bonne élève, j'en profitais pour mettre un chahut pas possible. J'étais un vrai chef de gang !" L'ex-Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative a donc apparemment toujours eu l'âme d'une rebelle... "J'étais très indisciplinée, cela m'est resté en politique", analyse-t-elle très justement.
Anticonformiste au possible - elle est l'une des seules personnalités étiquetées UMP à s'être manifestée en faveur du mariage pour tous -, elle dérange aujourd'hui en libérant sa parole avec ses acolytes du Grand 8. Son goût pour l'image et son sens de la répartie ont même poussé TF1 à l'inviter à figurer en guest dans un prochain épisode de Nos chers voisins. Récemment tournée, la séquence sera diffusée à l'occasion du prime time spécial consacré à ce programme court, le 16 décembre prochain à 20h50 sur TF1.
Après avoir déjà mis ses talents de comédienne au service de la jolie chanteuse Joyce Jonathan en apparaissant dans son clip Ça ira, Roselyne Bachelot donnera la réplique à Gil Alma (Alain Stuck dans la série) ainsi qu'à Thierry Samitier (qui incarne Aymeric Dubernet-Carton). En robe de chambre et cigare au bec, l'ex-Ministre des deux gouvernements Fillon entre à merveille dans son personnage. Elle reconnaît malgré tout un rôle à contre-emploi : "Ça m'a bien plu ! Même si, dans le film, je fume le cigare alors que, depuis quarante ans, je mène une ardente campagne contre le tabac ! Alors j'espère que mon personnage n'incitera personne à fumer", reconnaît-elle dans le making-of. Mais c'est ça qui est drôle !
Joachim Ohnona