Après des années à subir dans l'ombre, Meghan Markle a enfin eu l'opportunité de parler. Lors de son interview diffusée dimanche à Oprah Winfrey, la duchesse de Sussex explique quelle a été sa vie au sein de la famille royale britannique. Elle y a notamment dénoncé des réactions racistes de la Couronne et évoqué ses envies suicidaires. Malgré tout, de nombreuses personnalités se sont rangées du côté du palais. C'est le cas de Stéphane Bern.
L'expert national des têtes couronnées a estimé qu'une "guerre de tranchée" oppose désormais les Sussex à la monarchie. "On vit une pleine pandémie avec des millions de morts à travers le monde. Ils sont partis avec 45 millions d'euros", a dénoncé le présentateur de Secrets d'Histoire (France 2) le 8 mars 2021 sur BFMTV. "J'ai même du mal à pleurer sur leur sort", assène-t-il.
D'après le prince Harry, sa famille lui a tout simplement "coupé les vivres" après sa mise en retrait de la monarchie. Comme si Diana Spencer s'était préparée à cette éventualité, son fils a utilisé son héritage pour ne pas se retrouver sans rien. De plus, Harry et Meghan ont dû assurer eux-mêmes leur sécurité, notamment lors de leur départ au Canada. Un coût considérable pour des personnalités de ce rang.
"Ça fait pauvre petite fille riche qui était une star. Elle a l'air de mal vivre les propos dans les tabloïds anglais. Mais il faut lire les critiques quand vous êtes une star à Hollywood aussi. Ce n'est pas toujours tendre", poursuit Stéphane Bern, décidément remonté. Face à Oprah, l'épouse du prince Harry expliquait ne pas lire ce que disaient les tabloïds, particulièrement cruels, sous peine d'avoir des envies suicidaires "très claires et très effrayantes".
Pour Stéphane Bern, le fait qu'elle subisse ces pensées atroces est lié à son rang dans la famille royale. "Elle s'est sentie à l'étroit. Elle s'est sentie abandonnée. Elle s'est sentie mal à l'aise car elle n'avait pas le premier rôle non plus", poursuit-il, toujours à BFMTV.
"Les couteaux sont sur la table en ce moment. (...) Elle a envoyé un certain nombre de bombes à Buckingham. Buckingham a répliqué avec notamment la révélation par le Times qu'il y a des plaintes qui sont déposées contre Meghan pour tyrannie, pour harcèlement moral", a expliqué Stéphane Bern.
Restée silencieuse lors des accusations concrètes du prince Andrew pour pédophilie, dans l'affaire Epstein, la Couronne avait réagit dans un communiqué inhabituel pour la plainte d'un employé du palais. Cette plainte pour "harcèlement" avait pourtant été déposée deux années auparavant. Pour certains, Buckingham aurait voulu rappeler son autorité, quelques jours avant la diffusion de l'interview-vérité.