Mercredi 26 novembre 2014, Cyril Hanouna prenait les commandes d'un nouveau numéro de Touche pas à mon poste, en direct sur D8. Autour de la table, sa bande de chroniqueurs se composait d'Enora Malagré, Gilles Verdez, Thierry Moreau ou encore Bernard Montiel.
Ce dernier n'a pas manqué de raconter la soirée très animée qu'il a passée vendredi soir, à l'occasion de l'anniversaire de la comédienne Saïda Jawad, ex-compagne de Gérard Jugnot et proche amie de Valérie Trierweiler. L'ex-première dame, qui attise l'intérêt de la presse internationale avec la récente publication de son ouvrage Merci pour ce moment, traduit dans une douzaine de langues, faisait d'ailleurs partie de la fête d'après les déclarations de Bernard Montiel dans l'émission médias de D8 : "J'ai dîné avec Valérie Trierweiler vendredi soir. Ce qui était drôle, c'est que toute la presse pensait qu'elle était déjà à Londres alors qu'elle était encore à Paris. C'était une grosse fête et elle a dansé jusqu'à 5 heures du matin", assure l'animateur à la longue carrière télévisuelle.
Il s'étend même sur l'attitude de séductrice de ladite Valérie, durant cette nuit festive : "Elle a essayé (de draguer), mais elle faisait peur !" Et Cyril Hanouna de rebondir : "Tu m'étonnes ! Si à chaque fois que vous la chopez, elle fait un livre derrière !", a-t-il plaisanté, avant de féliciter Bernard Montiel pour cette confidence croustillante.
Des dires qui renforcent l'image d'une Valérie Trierweiler libérée, quelques semaines après la parution de clichés la montrant en train de s'abandonner sur le dancefloor dans les bras d'un transsexuel dévêtu, à l'occasion du premier anniversaire de mariage de Jean-Luc Romero.
Ces confidences de Bernard Montiel interviennent alors que Valérie Trierweiler enchaîne les entretiens avec les médias étrangers pour promouvoir son ouvrage, qui n'a pas profité à sa cote de popularité auprès des Français. Même certaines personnalités s'insurgent contre Merci pour ce moment : on pense à Laurent Ruquier, Léa Salamé, Bernard-Henri Levy ou, plus récemment, Michel Boujenah.
Joachim Ohnona