Entre Valérie Trierweiler et la presse, les relations continuent d'être parfois tumultueuses. Après avoir annoncé qu'elle allait porter plainte contre Closer pour atteinte à la vie privée, il y a quelques jours, l'ex-première dame vient de lâcher un tweet contre l'édition espagnole de Vanity Fair. La journaliste dément en effet un échange de SMS avec François Hollande que lui attribue le magazine dans son édition de février tout juste parue. En revanche, elle n'a fait aucun commentaire sur les déclarations de son frère dans ces mêmes pages, plutôt sévères avec son ex-compagnon...
Des SMS "totalement inventés"
On ne sait donc pas si Valérie Trierweiler approuve les propos de son frère William Massonneau, pour qui François Hollande a été "au-delà de la trahison" au moment de sa rupture avec sa soeur. Mais elle dément en tout cas les SMS qu'elle aurait échangés avec son ex produits par le magazine espagnol. "Après l'article romancé dans @lemondefr d'hier, désormais les SMS totalement inventés dans @VanityFair Espagne. #Sanslimite", a-t-elle écrit quelques heures après la mise en ligne de l'article sur le site du magazine.
Vanity Fair expliquait que François Hollande lui avait proposé de faire un communiqué commun pour annoncer leur séparation, ce à quoi elle aurait rétorqué : "Pas question. Tu assumes la situation. C'est toi seul qui t'es mis dedans et c'est à toi de la régler. Je ne signerai aucun communiqué."
La "nuit blanche" de François Hollande, un article "romancé"
L'ex-première dame en profite pour dénoncer le traitement de la presse, ajoutant le hashtag "sans limite", et pour tacler le site web du Monde. La veille, celui-ci a en effet publié un long article racontant la "nuit blanche" de François Hollande à l'Elysée, au moment où il découvre le Closer révélant sa liaison supposée avec Julie Gayet. Mais également un malaise que la première dame d'alors aurait fait, à 2 heures du matin, après avoir appris la nouvelle. Un article "romancé" selon elle, sans toutefois démêler le vrai du faux... D'après nos informations, cet article est effectivement romancé, et pas seulement concernant son malaise, l'heure de celui-ci et son hospitalisation...
Toujours est-il que d'autres médias avaient indiqué que Valérie Trierweiler avait fermement refusé de signer un communiqué commun. "Il n'y aura pas de communiqué commun. Tu assumes", avait-elle ainsi lancé, selon Paris Match.