Valérie Trierweiler poursuit son opération reconquête auprès des Français. A l'occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes, elle était aux côtés de son compagnon François Hollande et de Najat Vallaud-Belkacem, ministre du Droit des femmes, pour visiter un foyer parisien créé par l'association Une femme, un toit, dimanche 25 novembre. Plus première dame que jamais, désormais elle "se sent bien à l'Élysée", comme elle le déclarait récemment à RTL, et cela se voit ! Radieuse, elle semble enfin s'épanouir dans ce rôle et trouver ses marques. Comme durant le dîner d'État avec le président italien, Giorgio Napolitano, et auquel elle a participé avec élégance au côté de François Hollande.
Toujours solidaire et sensible à la cause féminine, Valérie Trierweiler s'est récemment montrée très enthousiaste à l'idée de pouvoir aider de nombreuses femmes qui lui envoient du courrier : "J'essaye d'y répondre quand je peux moi-même. Il y a beaucoup de requêtes qui concernent des femmes seules avec enfants et ensuite des femmes qui sont contentes de voir à ce rôle [de première Dame] une femme qu'elles considèrent comme une femme indépendante. C'est agréable de savoir qu'on peut être utile", déclarait-elle.
Désormais "soulagée" de ne plus être au coeur de la polémique, après l'affaire du tweet, sa biographie non autorisée ou encore sa rivalité avec Ségolène Royal, Valérie Trierweiler s'épanouit enfin en tant que première dame et multiplie les engagements caritatifs, qui sont l'apanage des épouses de président, notamment en tant qu'ambassadrice de la fondation France Libertés - Danielle Mitterrand. Les semaines agitées semblent aujourd'hui oubliées, tout comme le flou qui entourait un rôle - entre journaliste et première dame - qui s'affine de plus en plus. Preuve de ce renouveau, elle aura même, d'ici à Noël, un onglet qui lui sera dédié sur le site Internet de l'Élysée, elle pourra notamment y poster des vidéos de ses actions et autres oeuvres caritatives.