La suite après la publicité
Raphaël Personnaz est décidément omniprésent, mais personne ne s'en plaindra. Alternant les genres, les univers, les contrées, l'acteur français nommé comme meilleur espoir pour La Princesse de Montpensier semble dévorer le cinéma à pleines dents. Le beau Raphaël deviendrait-il un ogre cinéphilique ? Il a en tout cas le premier rôle dans le film Au bonheur des ogres, adaptation trépidante de l'oeuvre de Daniel Pennac avec également Bérénice Bejo, Mélanie Bernier, Guillaume de Tonquédec, Thierry Neuvic et Emir Kusturica.
La bande-annonce d'Au bonheur des ogres de Nicolas Bary ne manque pas de rythme. On y découvre un nouveau visage de Raphaël Personnaz, mettant de côté son aura de séducteur pour jouer un personnage pas très bien coiffé. Le film est une adaptation du roman de Pennac, datant de 1985 et le premier opus de la saga Malaussène. Son titre fait indéniablement écho à celui de l'oeuvre de Zola, Au bonheur des dames, mais les univers de ces deux livres sont bien différents, si ce n'est qu'il est question de grands magasins.
Au bonheur des ogres nous permet de faire connaissance avec une famille un peu particulière et joyeusement bordélique, la tribu Malaussène. L'un d'eux, Benjamin Malaussène, est bouc émissaire professionnel et frère aîné responsable de la marmaille. Mais quand les incidents surviennent partout où il passe, attirant les regards soupçonneux de la police et de ses collègues de travail dans le magasin où il officie, il devient rapidement vital pour le héros de trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là ?
La bande-annonce d'Au bonheur des ogres de Nicolas Bary ne manque pas de rythme. On y découvre un nouveau visage de Raphaël Personnaz, mettant de côté son aura de séducteur pour jouer un personnage pas très bien coiffé. Le film est une adaptation du roman de Pennac, datant de 1985 et le premier opus de la saga Malaussène. Son titre fait indéniablement écho à celui de l'oeuvre de Zola, Au bonheur des dames, mais les univers de ces deux livres sont bien différents, si ce n'est qu'il est question de grands magasins.
Au bonheur des ogres nous permet de faire connaissance avec une famille un peu particulière et joyeusement bordélique, la tribu Malaussène. L'un d'eux, Benjamin Malaussène, est bouc émissaire professionnel et frère aîné responsable de la marmaille. Mais quand les incidents surviennent partout où il passe, attirant les regards soupçonneux de la police et de ses collègues de travail dans le magasin où il officie, il devient rapidement vital pour le héros de trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là ?
Après Les Enfants de Timpelbach, Nicolas Bary retrouve les livres et crée un univers délirant qui se veut à la hauteur de la richesse littéraire de Daniel Pennac. Avec ce film, on retrouve avec bonheur la césarisée Bérénice, toujours aussi ravissante, comme récemment dans Populaire. Elle n'a pas pour autant fait une croix sur les drames et a également été choisie pour tourner sous la direction d'Asghar Farhadi (Une séparation), remplaçant Marion Cotillard dans Le Passé.
Au bonheur des ogres, en salles le 10 avril