Depuis l'annonce du cancer deKate Middleton, le vendredi 22 mars, le Royaume-Uni est sous le choc. Désormais, la famille royale se trouve dans une situation inédite et extrêmement délicate, puisque deux de ses membres importants font face à la maladie. Toutefois, ni le roi Charles III, ni la princesse de Galles n'ont précisé de quel cancer ils souffraient.
Résultat, chacun y va de sa spéculation pour tenter de découvrir contre quel type de cancer se bat l'épouse du Prince William. À l'heure actuelle, la seule information apportée, c'est que le cancer de Kate a été détecté à la suite d'une opération abominable. Pour David Khayat, chef du service oncologie médicale de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière depuis 1990, cette information révèle quelques détails rassurants.
Dans les colonnes de Voici, le médecin et professeur d'oncologie a essayé d'éclaircir certaines zones d'ombre au sujet du cancer de Kate Middleton : "On dispose de quelques informations qui incitent plutôt à l'optimisme". Alors, contre quel cancer la princesse Kate peut-elle se battre ? Selon le spécialiste, "il n'y a que deux types de cancer qu'on peut découvrir de cette manière (à la suite d'une opération abdominale, NDLR) : le cancer du côlon et le cancer des ovaires".
David Khayat se veut rassurant : "Ce sont deux cancers qui se soignent très bien aujourd'hui, avec presque 100 % de rémission et 85 % de guérison". Dans sa vidéo publiée le 22 mars dernier, Kate Middleton a indiqué suivre une chimiothérapie préventive. Pour le médecin, cette information est porteuse de bonne nouvelle, puisque ça signifie que le cancer de la princesse de Galles a sans doute été détecté à un stade précoce.
David Khayat a fait quelques suppositions sur ce qui attend l'épouse du futur souverain d'Angleterre : "Elle risque de perdre ses cheveux en cas de cancer des ovaires". Mais si tout se passe bien, Kate Middleton devrait se rétablir rapidement. De quoi rassurer le peuple britannique. Si ces informations concernant la maladie de la future reine incitent à l'optimisme, du côté de la santé du roi Charles III, le mystère reste toujours entier.