Lundi 10 octobre NRJ12 a officialisé le retour d'Ayem Nour aux commandes du Mad Mag. Martial Bétirac, qui avait repris les rênes de l'émission fin avril à la suite du départ de la maman d'Ayvin (4 mois), a donc été évincé du programme.
Son éviction a fait couler beaucoup d'encre et, depuis, l'animateur "sous le choc", se fait discret. Après une brève déclaration de Martial, c'est son manager, Franck Mollier, qui s'est confié à Télé Loisirs. Et il a des révélations à faire... "Ce n'est pas contre Ayem, je n'ai rien contre elle, mais ça me fait mal. C'est NRJ12 qui fait une erreur. (...) Le problème, ce n'est pas l'animateur. C'est le programme qui suit Le Mad Mag [La Revanche des ex, NDLR]. Personne n'a remis en cause le programme alors que lorsqu'il y avait Les Anges en diffusion juste après, il était à 400 000 téléspectateurs." Rappelons que, pour son grand retour dans le Mad Mag, Ayem Nour a réuni 133 000 téléspectateurs, soit 1,5% de part de marché. Pour sa dernière, vendredi dernier, Martial Bétirac avait attiré 89 000 Français, soit 1% de part de marché
Alors que lundi, dans Touche pas à mon poste sur C8, Capucine Anav avait pris la défense de Martial, considérant son éviction "inhumaine", le manager de l'animateur confie de son côté : "Ça a été très dur pour lui. Très dur d'encaisser ça. (...) Quand on en a parlé le week-end avec les producteurs, ils nous ont juré que Martial restait. J'ai donc envoyé le communiqué. C'était une erreur."
Contacté lundi par nos confrères, la chaîne a confirmé que Martial restait en contrat avec eux et même qu'il aurait d'autres projets. Des informations contredites par Franck Mollier : "Si votre patron vous vire du jour au lendemain, vous continueriez à travailler pour lui ? Non ! Quand on nous vire, on ne reste pas !"
Toujours selon nos confrères, le contrat de Martial pourrait "être cassé dans les prochains jours". Son manager précise qu'il aurait d'ailleurs déjà été contacté par d'autres chaînes : "On étudie toutes les propositions. (...) Virer un tel potentiel, c'est une erreur."
Affaire à suivre...