Telle mère, telle fille : Michèle Laroque a fait ses grands débuts en tant que réalisatrice avec Brillantissime, tandis que sa fille Oriane a fait aussi sa première fois en tenant un grand rôle devant la caméra, après avoir débuté, déjà avec sa maman, dans Comme t'y es belle. Au micro de Purepeople, l'actrice et réalisatrice était revenue sur sa collaboration heureuse avec son enfant, ne tarissant pas d'éloges pour elle. Mais qu'en pense Oriane ? Elle a répondu aux questions de Paris Match.
Jeune première au cinéma de 22 ans, Oriane Deschamps – son père est le metteur en scène et adaptateur Dominique Deschamps – connaît déjà bien le milieu : "J'accompagnais ma mère sur des tournages. J'adorais m'installer à la table de régie ou traîner avec les 'ingés son'." Que pense-t-elle de son expérience, maintenant que le film a été dévoilé au public ? "Je ne me suis pas trouvée ridicule à l'écran et j'ai adoré jouer." Et voir sa mère avec la casquette de metteur en scène ? "Sur le plateau, j'adorais la voir tout diriger, c'était le girl power." La demoiselle, qui a fait hypokhâgne et khâgne et se voyait il y a peu travailler dans une maisons de production comme elle venait de le faire à New York pendant deux ans, veut se lancer véritablement dans une carrière de comédienne, pour le plus grand bonheur de sa mère.
Cependant, Oriane Deschamps ne veut pas s'arrêter là et se verrait bien aussi chanteuse, elle qui a interprété un des titres de la bande-originale avec sa maman, La Vie au ras du sol : "C'est facile d'interpréter du Alex Beaupain [compositeur de la musique]. Si j'en fais mon métier, j'aimerais que mon petit ami, Boris Bergmann, un écrivain dont le cinquième livre, Nage libre, vient de sortir, en soit l'auteur." Le couple prometteur a d'ailleurs adorablement posé ensemble pour l'avant-première parisienne le 15 janvier, avec également Michèle Laroque et son compagnon François Baroin.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Paris Match du 18 janvier