Dimanche 10 avril, l'événement est sur TF1 dans Sept à Huit avec l'interview très attendue de Nabilla Benattia par Thierry Demaizière. Une vitrine incroyable pour la bombe à quatre jours de la sortie en librairies de Trop vite, son autobiographie écrite avec la collaboration du journaliste Jean-François Kervéan.
En attendant de découvrir "sa vraie histoire" comme elle l'a promis sur les réseaux sociaux, c'est à nos confrères de Télé-Loisirs que la bombe de 24 ans vient de se confier brièvement dans les locaux de sa maison d'édition... A cette occasion, la compagne de Thomas Vergara est revenue sur les risques qu'elle prend à raconter son histoire avant la tenue de son procès en mai prochain. "On a essayé de me mettre en garde, on m'a dit que je prenais des risques. Une maison d'édition prestigieuse en qui j'ai confiance me propose d'écrire un livre, je le fais. Je veux raconter mon histoire et dire la vérité ; d'autant qu'on a écrit des choses graves et fausses sur moi. Advienne que pourra, je suis une aventurière des temps modernes", a-t-elle lâché.
Une chose est sûre, Nabilla espère ne pas avoir à repasser par la case prison après son jugement. Selon elle, les semaines passées derrière les barreaux fin 2014 l'ont considérablement changée. "Ça suffit ! J'ai compris la leçon, je n'écraserai même plus une mouche. Et puis, Thomas est à mes côtés. Il veut que tout s'arrête, qu'on s'installe dans une maison et même qu'on fonde une famille", a-t-elle expliqué.
Pour finir, concernant la nuit du drame qui a été largement commentée sans que personne ne sache vraiment ce qu'il s'était passé, Nabilla a déclaré : "J'ai pris peur mais je ne voulais pas lui faire du mal, c'est arrivé très vite. Après, il perdait beaucoup de sang, il ne voulait même pas que j'appelle les secours pour que nous n'ayons pas d'emmerdes justement. Si je l'avais écouté, sans doute serait-il mort."
Trop vite, l'autobiographie de Nabilla, disponible le 14 avril prochain aux éditions Robert Laffont
Julien Perret