Sorties cinéma : Jamel Debbouze, Ryan Gosling et Jennifer Aniston défigurée
Publié le 8 avril 2015 à 11:32
Par Samya Yakoubaly | Rédactrice
Cinéphile, elle adore regarder des bande-annonces et des moments historiques à la télévision. Le prochain James Bond ou le discours d’investiture de Barack Obama lui donnent les mêmes frissons.
Bande-annonce du film Pourquoi j'ai pas mangé mon père, en salles le 8 avril 2015 © Allocine
Bande-annonce du film Lost River, en salles le 8 avril 2015
Bande-annonce du film Cake, en salles le 8 avril 2015
Bande-annonce du film Dark Places en salles le 8 avril 2015
Bande-annonce du film L'Astragale en salles le 8 avril 2015
Affiche du film Pourquoi j'ai pas mangé mon père
Affiche du film Cake
Affiche du film Lost River
Affiche du film Dark Places
Affiche du film L'Astragale
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Ça se bouscule dans les salles de cinéma avec une foule de longs métrages très attendus en ce mercredi 8 avril : le défi fou de Jamel, celui du sex symbol Ryan Gosling, mais aussi la performance remarquée de Jennifer Aniston et les tourments de Charlize Theron. Sans oublier le duo de cinéma très charismatique : Reda Kateb et Leïla Bekhti.

Pourquoi j'ai pas mangé mon père, de Jamel Debbouze

Avec Jamel Debbouze, Mélissa Theuriau, Arié Elmaleh

L'histoire trépidante d'Édouard, fils aîné du roi des simiens, qui, considéré à sa naissance comme trop malingre, est rejeté par sa tribu. Il grandit loin d'eux, auprès de son ami Ian, et, incroyablement ingénieux, il découvre le feu, la chasse, l'habitat moderne, l'amour et même... l'espoir.

Ce qu'il faut retenir : Sept années de travail, une technologie jamais utilisée en France, une histoire humaniste et des comédiens habités par leurs personnages... Voilà les ingrédients du conte préhistorique de Jamel destiné à toute la famille.


Dark Places, de Gilles Paquet-Brenner

Avec Charlize Theron, Nicholas Hoult, Chloë Grace Moretz

L'histoire : 1985. Libby Day a 8 ans lorsqu'elle assiste au meurtre de sa mère et de ses soeurs dans la ferme familiale. Son témoignage accablant désigne son frère Ben comme le meurtrier. Trente ans plus tard, un groupe d'enquêteurs la convainc de se replonger dans le souvenir de cette nuit cauchemardesque.

Ce qu'il faut retenir : Un polar ténébreux par l'auteur de Gone Girl, captivant, avec un beau casting pour le réalisateur français d'Elle s'appelait Sarah.

L'Astragale, de Brigitte Sy

Avec Leïla Bekhti, Reda Kateb, Esther Garrel

L'histoire : Une nuit d'avril 1957. Albertine, 19 ans, saute du mur de la prison où elle purge une peine pour hold-up. Dans sa chute, elle se brise l'os du pied : l'astragale. Elle est secourue par Julien, repris de justice, qui l'emmène et la cache chez une amie à Paris.

Ce qu'il faut retenir : Brigitte Sy a mis de sa personne dans cette nouvelle adaptation du roman éponyme d'Albertine Sarrazin (1965), aidée par de talentueux comédiens.

Cake, de Daniel Barnz

Avec Jennifer Aniston, Sam Worthington, Anna Kendrick

L'histoire : Claire Bennett va mal. Il n'y a qu'à voir ses cicatrices et ses grimaces de douleur dès qu'elle fait un geste pour comprendre qu'elle souffre physiquement. Elle ne parvient guère mieux à dissimuler son mal-être affectif.

Ce qu'il faut retenir : Pas d'Oscar pour la célèbre Rachel de Friends mais la preuve que son talent peut briller dans tous les genres, et pas seulement dans la comédie romantique.

Lost River, de Ryan Gosling

Avec Christina Hendricks, Saoirse Ronan, Iain De Caestecker

L'histoire : Dans une ville qui se meurt, Billy, mère célibataire de deux enfants, est entraînée peu à peu dans les bas-fonds d'un monde sombre et macabre, pendant que Bones, son fils aîné, découvre une route secrète menant à une cité engloutie. Billy et son fils devront aller jusqu'au bout pour que leur famille s'en sorte.

Ce qu'il faut retenir : Premier essai en tant que réalisateur pour le beau gosse d'Hollywood qui choisit de faire un portrait onirique et torturé de l'Amérique avec en bonus sa bien-aimée Eva Mendes.


"Si ça ne marche pas, je n'aurais aucun regret car j'ai tout donné", a dit Jamel Debbouze au Journal du dimanche. Les cinéastes sont des passionnés qui n'attendent que de voir les spectateurs plonger dans leur monde. Bon(s) film(s) !

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