Valérie Trierweiler va rejouer les institutrices. Comme l'année dernière, la Première dame va retourner à l'école pour animer la célèbre dictée d'ELA, l'Association européenne contre les leucodystrophies parrainée par Zinédine Zidane, face à de jeunes élèves pour lancer une nouvelle campagne, révèle discrètement Le Parisien ce 27 septembre 2013. Et si l'année dernière, la compagne de François Hollande s'était rendue dans un établissement parisien, elle retournera cette fois le 19 octobre prochain dans le quartier où elle a grandi à Angers, à l'école Paul-Valéry où elle-même fut scolarisée. Une ville dans laquelle elle était déjà retournée pour les fêtes de Noël en 2012.
Un an en arrière déjà, Valérie Trierweiler l'avait promis. Si on lui redemandait de faire à nouveau la dictée d'ELA, elle accepterait bien volontiers. "ELA a pour vocation de faire appel à chaque fois à une nouvelle personne. Mais évidemment, je serai là une deuxième fois si on me le demande", avait-elle déclaré après cette première lecture. Un désir finalement aussi partagé par Guy Alba, le président de l'association, qui assurait à l'époque avoir besoin de ce genre de personnalités pour faire connaître la cause. "Madame Trierweiler est une personnalité de premier plan. Nous espérons que cette histoire s'inscrive dans la durée. (...) Nous avons vraiment besoin de soutien de premier plan", avait-il souligné. Outre Zinédine Zidane, ELA s'est en effet entourée de Nathalie Baye, de l'imitateur Mickaël Grégorio, Jean d'Ormesson, Grégoire, Bruno Solo, Denis Brogniart ou de encore Claire Keim.
Avec cette nouvelle bonne action, Valérie Trierweiler prouve une nouvelle fois son engagement auprès de la jeunesse, après avoir notamment emmené de nombreux enfants défavorisés sur les plages de Cabourg cet été. Un thème qui lui est cher, tout comme la défense du droit des femmes. En tant qu'ambassadrice de la fondation France Libertés - Danielle Mitterrand, la Première dame a ainsi prononcé un discours à New York mardi 24 septembre, en marge de la 68e Assemblée générale de l'ONU, lors d'une réunion internationale sur les violences sexuelles. Elle était accompagnée du docteur congolais Denis Mukwege, qu'elle avait déjà rencontré lors de son voyage en République démocratique du Congo, juste après avoir déjeuné avec Michelle Obama sur son invitation à Harlem, avec d'autres premières dames, dont la princesse Charlene de Monaco.