Entre ses multiples activités professionnelles et son compagnon ministre, Arnaud Montebourg, Audrey Pulvar mène une vie, si elle n'est pas exempte de polémiques en tout genre, pour le moins palpitante. Cette semaine, dans le cadre de la chronique "En immersion" du Grand 8, sur D8, la journaliste a assisté à l'inauguration d'une boutique dédiée au bien-être des couples, un très présentable sex-shop. Elle n'a guère brillé par son ouverture d'esprit, sous-entendant à plusieurs reprises que les couples normaux n'avaient pas besoin de ça.
Ces derniers jours, Audrey Pulvar a défilé au Salon du chocolat et inauguré le très branché Festival des Inrocks, organisé par les Inrockuptibles, magazine dont elle est la directrice éditoriale. Cette semaine, elle a également visité un sex-shop nouvelle génération en compagnie de la chroniqueuse Caroline Ithurbide pour Le Grand 8, l'émission de Laurence Ferrari sur D8. Dès son arrivée, Audrey Pulvar se montre surprise : "Il n'y a donc pas que des énormes godemichés, ici. Je m'attendais à entrer dans un endroit sombre avec des rideaux tirés, des néons lumineux..." La propriétaire des lieux montre alors à la journaliste les différents articles qu'elle propose à la vente : de la bougie parfumée aux jeux les plus coquins, en passant par les menottes strassées, les fameux sex-toys ou les très à la mode boules de geisha. Audrey Pulvar lève les yeux au ciel, glousse comme le feraient deux bonnes copines à sa place et tente une pointe d'humour : "Vous vous imaginez si moi je venais ici ? J'aurais 450 tweets disant ce que j'ai acheté... Est-ce que vous faites des ventes par correspondance ?"
De retour en plateau, la chroniqueuse Hapsatou Sy s'étonne des statistiques qui témoignent de l'intérêt grandissant des couples pour les sex-toys. Audrey Puvar, bienveillante, rassure sa consoeur : "Tu es normale, Hapsatou, si tu n'en as pas besoin, rassure-toi !" C'est probablement... toujours de l'humour.
Nicolas Nieto