Florence Foresti: Ses rares confidences sur sa fille Toni et leur vie de famille

Ne comptez pas sur Florence Foresti pour prendre parti publiquement en matière politique. Interviewée par les journalistes du magazine Elle, la Mother Fucker a refusé de choisir entre Hillary Clinton et Donald Trump. Pas question de commenter l'élection qui a eu lieu ce 8 novembre dernier, avec le résultat qu'on connaît, si ce n'est pour souligner, avec humour comme toujours : "Les Américains ont décidé de fixer la date de leur élection le même jour que celui de mon anniversaire ! Quand je leur ai signalé, ils ont dit qu'ils n'y changeraient rien. J'ai laissé faire."

Alors qu'elle vient de fêter ses 43 ans, l'humoriste adorée des Français assure que les commentaires politiques, ce n'est pas ce que l'on attend d'un artiste. Sa fonction ? Faire rire, "l'essence de son métier". Si elle n'a pas voulu commenter l'actualité, Florence Foresti a en revanche fait de rares confidences sur sa vie de famille.

C'est ma merveille, tout me bluffe en elle

Celle qui a animé la 41e soirée des Césars – "une expérience unique, qui le restera", assure-t-elle – s'est confiée sur son quotidien avec son amoureux, le scénariste Xavier Maingon, et sur sa petite Toni, 9 ans, dont le papa est son ex-compagnon Julien. "On est des ritals, ça crie, ça rit, ça gueule et c'est sympa. Devant elle, je suis sans défense hypnotisée, c'est ma merveille, tout me bluffe en elle", confie-t-elle à propos de sa fille à qui elle veut apprendre l'indépendance financière. "Une femme ne doit jamais faire ce que lui demande un homme, et surtout pas arrêter de travailler", assure-t-elle.

Pour Florence Foresti, qui sera à l'affiche du film De plus belle le 8 mars prochain, la question ne se pose plus. Son fulgurant succès lui a permis d'offrir une maison à sa maman et pas seulement. "Mon luxe absolu est de ne plus avoir à y penser, le sujet n'étant plus une préoccupation", a-t-elle expliqué à propos de l'argent. Une notoriété largement méritée et qu'elle partage avec ses proches, notamment sa grande soeur de deux ans son aîné. "J'ai été son petit fardeau, c'est toujours ma grande soeur, ma partenaire, ma protectrice. Je regrette que ma fille n'ait pas de fratrie. Mais, avec deux enfants, j'aurais été une maman qui aurait été deux fois plus en retard à l'école", a-t-elle conclu.

Coline Chavaroche