Affiche du film Grand Central
La suite après la publicité
Loin d'être blasés par la promotion marathon du film au Festival de Cannes, Léa Seydoux et Tahar Rahim sont revenus devant les médias pour défendre le film Grand Central, drame romantique de Rebecca Zlotowski (Belle Épine) sélectionné dans la catégorie cannoise Un Certain Regard. Complice comme toujours, le duo de comédiens a livré un show truculent durant l'émission du Grand Journal du 28 août, sur Canal+.
Devant le nouveau maître de cérémonie du Grand Journal, Antoine de Caunes, Léa Seydoux et Tahar Rahim, deux étoiles du cinéma français connues pour leurs performances en matière de tragédie, se sont bien amusés. Loin des rôles torturés qui ont fait leur renommée, les deux jeunes gens ont joué la carte de l'humour et du show pour amuser les téléspectateurs de la chaîne cryptée.
Léa Seydoux, auréolée du succès de La Vie d'Adèle, Palme d'or du dernier Festival de Cannes et attendue dans La Belle et la Bête, prouve qu'elle ne veut pas se ranger dans la catégorie "actrice charismatique et mystérieuse". Certes, son charme agit en un clin d'oeil mais elle peut aussi faire rire, comme dans son sketch où elle joue une actrice porno baptisée "Oula Seydur", qui fait des remakes classés X des films de... Léa Seydoux. Résultat, Grand Central devient Gland Central. Les jeux de mots coquins fusent et, face à son partenaire de parodie, Arié Elmaleh, l'actrice s'est visiblement bien amusée.
De son côté, le Prophète doublement césarisé Tahar Rahim ne se fait pas prier pour montrer à quel point la musique de Michael Jackson le fait vibrer. Certes, la séance de danse était préparée, mais comment ne pas sourire en voyant le comédien habituellement si pudique se déchaîner de la sorte sur le dancefloor éphémère du Grand Journal.
Héros romantiques de Grand Central, Tahar Rahim et Léa Seydoux incarnent Gary et Karole. De petits boulots en petits boulots, Gary est embauché dans une centrale nucléaire. Là, au plus près des réacteurs, où les doses radioactives sont les plus fortes, il tombe amoureux de Karole, la femme de Toni. L'amour interdit et les radiations contaminent lentement Gary. Chaque jour devient une menace.
"Grand Central", en salles depuis le 28 août
Devant le nouveau maître de cérémonie du Grand Journal, Antoine de Caunes, Léa Seydoux et Tahar Rahim, deux étoiles du cinéma français connues pour leurs performances en matière de tragédie, se sont bien amusés. Loin des rôles torturés qui ont fait leur renommée, les deux jeunes gens ont joué la carte de l'humour et du show pour amuser les téléspectateurs de la chaîne cryptée.
Léa Seydoux, auréolée du succès de La Vie d'Adèle, Palme d'or du dernier Festival de Cannes et attendue dans La Belle et la Bête, prouve qu'elle ne veut pas se ranger dans la catégorie "actrice charismatique et mystérieuse". Certes, son charme agit en un clin d'oeil mais elle peut aussi faire rire, comme dans son sketch où elle joue une actrice porno baptisée "Oula Seydur", qui fait des remakes classés X des films de... Léa Seydoux. Résultat, Grand Central devient Gland Central. Les jeux de mots coquins fusent et, face à son partenaire de parodie, Arié Elmaleh, l'actrice s'est visiblement bien amusée.
De son côté, le Prophète doublement césarisé Tahar Rahim ne se fait pas prier pour montrer à quel point la musique de Michael Jackson le fait vibrer. Certes, la séance de danse était préparée, mais comment ne pas sourire en voyant le comédien habituellement si pudique se déchaîner de la sorte sur le dancefloor éphémère du Grand Journal.
Héros romantiques de Grand Central, Tahar Rahim et Léa Seydoux incarnent Gary et Karole. De petits boulots en petits boulots, Gary est embauché dans une centrale nucléaire. Là, au plus près des réacteurs, où les doses radioactives sont les plus fortes, il tombe amoureux de Karole, la femme de Toni. L'amour interdit et les radiations contaminent lentement Gary. Chaque jour devient une menace.
"Grand Central", en salles depuis le 28 août