Nathalie Baye lors du festival du film francophone d'Angoulême de 2010© Abaca
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Toutes les bonnes choses ont une fin et c'est ainsi que s'est achevé le festival du film francophone d'Angoulême le 29 août, dévoilant au préalable son palmarès. Cette manifestation présidée cette année par Nathalie Baye, entourée d'un séduisant jury, a récompensé différentes oeuvres cinématographiques en français, avec en premier lieu, le film Illégal, production franco-belgo-luxembourgeoise d'Olivier Masset-Depasse.
L'édition 2010 du festival créé par Dominique Besnehard a remporté l'adhésion avec sa belle programmation et la présence de nombre d'étoiles comme les "soeurs" Ludivine Sagnier et Diane Kruger, la ravissante future maman Sonia Rolland ou encore la venue attendue mais délicate de Laura Smet. Elle a assuré avec brio cet événement qui a compté 25% de festivaliers supplémentaires par rapport à l'an dernier, malgré la baisse massive des allocations allouées par la région Poitou-Charentes, présidée par Ségolène Royal.
Illégal, histoire d'une mère russe et de son fils, clandestins en Belgique a remporté le Valois d'or. Les prix d'interprétation féminin et masculin ont été remportés respectivement par l'Algérienne Samia Meziane dans Voyage à Alger d'Abdelkrim Bahloul et par le Tchadien Youssouf Djaoro dans Un homme qui crie, oeuvre qui fut précédemment vainqueur du prix du jury à Cannes.
Le prix de la mise en scène a été remis au Nom des gens de Michel Leclerc avec Sara Forestier, Jacques Gamblin mais aussi l'homme politique Lionel Jospin. Ce long-métrage sur une jeune femme qui tente de faire changer de bord politique les hommes qu'elle séduit a également obtenu le prix du public.
Metteur en scène des tourments sentimentaux, Claude Lelouch a reçu le Valois d'honneur au côté du maire de Paris Bertrand Delanoë, présent en tant que président de l'Association internationale des maires francophones. Lelouch présentait au cours de ce festival Ces amours-là avec Audrey Dana.
La manifestation s'est terminée avec la présentation du dernier film poignant de Xavier Beauvois, Des Hommes et des dieux, avec Lambert Wilson et il a reçu un accueil triomphal indique Le Parisien. Le quotidien ajoute que le matin de la journée de projection, "au cours de la messe, le prêtre a exhorté les fidèles à aller voir ce film". Le festival de Cannes l'avait également salué en lui remettant le grand prix du jury.
L'édition 2010 du festival créé par Dominique Besnehard a remporté l'adhésion avec sa belle programmation et la présence de nombre d'étoiles comme les "soeurs" Ludivine Sagnier et Diane Kruger, la ravissante future maman Sonia Rolland ou encore la venue attendue mais délicate de Laura Smet. Elle a assuré avec brio cet événement qui a compté 25% de festivaliers supplémentaires par rapport à l'an dernier, malgré la baisse massive des allocations allouées par la région Poitou-Charentes, présidée par Ségolène Royal.
Illégal, histoire d'une mère russe et de son fils, clandestins en Belgique a remporté le Valois d'or. Les prix d'interprétation féminin et masculin ont été remportés respectivement par l'Algérienne Samia Meziane dans Voyage à Alger d'Abdelkrim Bahloul et par le Tchadien Youssouf Djaoro dans Un homme qui crie, oeuvre qui fut précédemment vainqueur du prix du jury à Cannes.
Le prix de la mise en scène a été remis au Nom des gens de Michel Leclerc avec Sara Forestier, Jacques Gamblin mais aussi l'homme politique Lionel Jospin. Ce long-métrage sur une jeune femme qui tente de faire changer de bord politique les hommes qu'elle séduit a également obtenu le prix du public.
Metteur en scène des tourments sentimentaux, Claude Lelouch a reçu le Valois d'honneur au côté du maire de Paris Bertrand Delanoë, présent en tant que président de l'Association internationale des maires francophones. Lelouch présentait au cours de ce festival Ces amours-là avec Audrey Dana.
La manifestation s'est terminée avec la présentation du dernier film poignant de Xavier Beauvois, Des Hommes et des dieux, avec Lambert Wilson et il a reçu un accueil triomphal indique Le Parisien. Le quotidien ajoute que le matin de la journée de projection, "au cours de la messe, le prêtre a exhorté les fidèles à aller voir ce film". Le festival de Cannes l'avait également salué en lui remettant le grand prix du jury.
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